Le 14 juillet 2014 en Forêt de Haye des ossements humains calcinés étaient retrouvés par un promeneur dans des cendres froides. (Lire l’article)
Photo d’illustrationLes enquêteurs avaient alors pensé qu’il pouvait s’agir de ceux d’une infirmière nancéienne de 34 ans portée disparue depuis le dimanche 29 juin 2014. Une analyse ADN des ossements faites par un laboratoire renommé de Bordeaux vient de confirmer cette thèse permettant aux enquêteurs d’écarter définitivement la piste de la fugue ou de l’enlèvement et de s’orienter désormais vers celle de l’assassinat.
Le 2 juillet 2014, son compagnon avait été mis en examen pour « homicide volontaire par concubin » et placé en détention provisoire. Ce dernier niait alors toute implication dans cette affaire.
L’enquête est désormais relancée sur la base de l’assassinat et beaucoup d’éléments restent à être élucider. L’identification des ossements a permis de mettre un nom sur l’identité de la victime, de là à connaitre l’identité du tueur, le mobile et le lieu du crime, rien n’est moins sûr.
0 commentaire