Pub
Pub
Pub
Pub
Pub
S'abonner à la newsletter
Pub
Pub
Pub
Pub
Pub

samedi 23 novembre

Course-poursuite – Un chef d’entreprise vosgien roule à 250 km/h sur l’A9 pour échapper aux gendarmes

Sa Mercedes d'une valeur de 110 000 € a été placée en fourrière.

0 commentaire

0

Écouter cet article

Selon une information de nos confrères de France 3 Languedoc-Roussillon, un chef d’entreprise vosgien de 60 ans a d’abord été contrôlé à 170 km/h au volant de sa Mercedes ce lundi 2 mars 2015 vers 22 heures 00 sur la commune de Gallargues-le-Montueux dans le Gard. Il a ensuite tenté d’échapper à l’interception des gendarmes et accéléré brusquement pour engager une course-poursuite avec l’équipage de la Brigade rapide d’intervention (BRI) pendant 40 kilomètres sur l’A9, depuis l’Est de Montpellier dans le Gard, jusqu’à Fabrègues, dans l’Hérault où il atteint 250 km/h. Par chance, personne n’a été blessé.

Durant cette course-poursuite, le chauffard a atteint 250 km/h au volant de sa Mercedes classe S 350 en dépit du trafic dense et a franchi à cette vitesse la zone de travaux de l’autoroute, pourtant limitée à 90 km/heure. Heureusement, ni lui ni ses poursuivants ne sont entrés en collision avec d’autres automobilistes.

Interpellé à Fabrègues, dans l’Hérault, et placé en garde à vue dans le Gard par les gendarmes, puis remis en liberté après interrogatoire, ce chef d’entreprise vosgien écope d’un suspension de six mois par le préfet de l’Hérault, d’une convocation devant la chambre correctionnelle du tribunal de Nîmes en septembre 2015 pour répondre des faits de refus d’obtempérer aggravé par la mise en danger de la vie d’autrui, excès de vitesse de plus de 50 km/h, dépassement par la droite.

Selon nos confrères du Midi Libre (lire ici), le sexagénaire aurait pris la fuite de crainte de perdre trois points sur son permis. Rouler à 50 km/h au dessus de la vitesse autorisée a sérieusement aggravé son cas.

A la demande du parquet de Nîmes, sa Mercedes d’une valeur de 110 000 € a été placée en fourrière jusqu’à sa comparution devant le tribunal.

Lire l’article de France 3 Languedoc-Roussillon en cliquant ici.

0 commentaire

Laisser un commentaire