A Bruyères, les salariés de la FicoCipa sont passés chez les commerçants de la ville pour leur demander d’afficher ce message sur leurs vitrines.
A l’image du fameux « Je suis Charlie », cette affiche prend des allures de deuil. La fermeture de l’usine est un coup dur : les salariés sont contraints de choisir entre le déménagement à proximité de Dieuze, ou la perte de leurs emplois. Par ailleurs, ce plan de restructuration est une perte industrielle pour Bruyères et autant d’habitants en moins pour la ville.
C.K.N.
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