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samedi 23 novembre

Elections régionales : David Wentzel tête de liste de l’Union Populaire Républicaine.

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David_Wentzel_01-300x218Les prochaines élections régionales approchent à grands pas. Elles auront en effet lieu les 6 et 13 décembre 2015. A maintenant moins de 2 mois du premier tour, les présentations des candidats se succèdent. Récemment, c’était au tour de l’Union Populaire Républicaine de dévoiler sa tête de liste régionale, David Wentzel. Une présentation qui s’est déroulée à Saint-Dié-des-Vosges, où le candidat était accompagné à cette occasion par Davia Hancock, tête de liste pour la Haute-Marne.

« David Wentzel a tout d’abord présenté l’Union Populaire Républicaine, parti politique approchant des 9 000 adhérents et ayant le site de parti politique le plus consulté de France, selon Alexa Ranking. L’UPR est le seul parti politique français proposant la sortie de l’Union Européenne, de l’Euro et de l’OTAN. Le candidat a rappelé que l’UPR si situe au-dessus du clivage droite-gauche, appelant à un rassemblement citoyen. En effet, le ministère de l’Intérieur a lui-même classé l’UPR en « divers » à toutes les élections où l’Union Populaire Républicaine s’est présentée.

Ce parti sera présent dans 13 régions à l’occasion des élections régionales, présentant ainsi 1969 candidats.
David Wentzel a expliqué l’effet des traités européens sur la politique française, et a notamment signalé que les autorités politiques françaises ne peuvent plus lutter contre les délocalisations du fait de l’article 63 du Traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne.
Il a complété son propos par l’évocation de l’article 48 du Traité sur l’Union Européenne, exigeant l’unanimité des pays membres pour entamer une réforme des traités, rendant ainsi impossible toute modification de fond.
Il a poursuivi son propos par l’évocation des autres transferts de compétences à des institutions non-élues, telles que la Banque Centrale Européenne ou la Commission Européenne.
Le candidat a ensuite présenté son programme régional, insistant sur la volonté de permettre des référendums locaux d’initiative populaire. De plus, il a précisé vouloir créer des aides spécifiques pour les jeunes agriculteurs, lutter contre la désertification médicale et la privatisation des services publics, interdire aux personnes précédemment condamnées de se présenter au niveau régional.
Bien sûr, la mise en place de ce programme sera précédée d’un audit sur les comptes de la nouvelle Région ACAL, celui-ci sera rendu publique.
L’entretien s’est achevé par un rappel à la mesure pivot qu’est la sortie de l’Union Européenne. Cette décision est le préalable à toute politique en matière d’emploi, d’environnement, de défense, d’agriculture, d’industrie, etc. L’appartenance à l’UE étant notamment responsable de plusieurs délocalisations, ou fermetures, de la région (Arcelor-Mittal, papeterie de Docelles…).
Enfin, la mise en place progressive d’euros-régions, supers structures de régions françaises couplées avec des régions d’autres pays européens, et ayant de plus en plus de compétences tout en restant sous la coupe de l’UE, a été dénoncée. »
J.J.

 

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