Le rideau est tombé sur la 28ème édition des « Négociales » après la grande finale jeudi soir au centre des congrès d’Epinal. C’est (encore) une élève Strasbourgeoise qui s’impose parmi les six finalistes (dont un élève de l’IUT Nancy Charlemagne) devant un millier d’étudiants survoltés émanant de 80 centres de qualification en France et en Belgique. La Suisse devrait rejoindre le mouvement.
Au delà, de cette épreuve très formatrice, dont la réputation dépasse les frontières, une école de la négociation (ESNA), offrant une qualification BAC + 3 à 5, a vu le jour aux Nations à Vandoeuvre. « Pour l’heure, deux promotions de 15 élèves » sont sorties. Nous sommes très satisfaits du projet avec un espoir de réaliser 500 000euros de chiffre d’affaires et de dégager 80 000euros de bénéfice dès la troisième année. L’établissement pourrait ainsi être agrée avec la possibilité de récolter la taxe d’apprentissage explique Michel Robert.
Après quelques tergiversations, le capital de l’école a été récemment recentré sur quelques investisseurs privés; Je veux des acteurs et non des consommateurs » martèle le président de l’association »Les négociales ». Il est même question à terme de construire une école pour donner une nouvelle dynamique à la formation supérieure.
Des rumeurs circulaient sur le possible retour aux sources de la grande finale, soit au palais des congrès de Nancy dès 2018…Il n’en est rien. D’une part, louer le palais des congrès de Nancy coûte trois fois plus cher. D’autre part, tant que je serai à la tête de l’entité, on restera à Epinal. Je suis Vosgien de coeur par ma mère et Meusien par mon père » ajoute Michel Robert. Voilà qui est clair !
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