Ce vendredi 11 mars a eu lieu la cérémonie nationale annuelle d’hommage aux victimes du terrorisme au site mémoriel de la Vierge. A cette occasion, une fresque de l’artiste Clair Arthur a été dévoilée devant les officiels et les élèves de l’école Gaston Rimey.
La cérémonie a été instaurée en 2020 en hommage aux victimes de la gare Atocha de Madrid le 11 mars 2004. les élèves de l’école Gaston Rimey ont lu « l’homme qui te ressemble » de René Philombe, hymne à la fraternité entre les hommes. Le préfet, Yves Séguy et Patrick Nardin, avant le dépôt des gerbes, ont porté un message de souvenir et d’hommage aux innocents morts à cause du fanatisme.
C’est avec émotion que Clair Arthur est revenu sur la création de la fresque visible au monument aux mort. » Au départ, je ma suis posé une question. Si c’était quelqu’un de ma famille qui avait été touchée, qu’est ce que je pourrais peindre qui serait le plus acceptable, le plus supportable? J’ai travaillé dans l’indicible entre le réel et l’imaginaire. Ce tableau s’inscrit entre l’écroulement et l’envol, le désespoir et l’espoir ». Une fresque qu’il a peint, sans trop y réfléchir mais qui porte le message d’espoir qu’un jour les hommes pourront vivre en harmonie.
Ce vendredi 11 mars a eu lieu la cérémonie nationale annuelle d’hommage aux victimes du terrorisme au site mémoriel de la Vierge. A cette occasion, une fresque de l’artiste Clair Arthur a été dévoilée devant les officiels et les élèves de l’école Gaston Rimey.
La cérémonie a été instaurée en 2020 en hommage aux victimes de la gare Atocha de Madrid le 11 mars 2004. les élèves de l’école Gaston Rimey ont lu « l’homme qui te ressemble » de René Philombe, hymne à la fraternité entre les hommes. Le préfet, Yves Séguy et Patrick Nardin, avant le dépôt des gerbes, ont porté un message de souvenir et d’hommage aux innocents morts à cause du fanatisme.
C’est avec émotion que Clair Arthur est revenu sur la création de la fresque visible au monument aux mort. » Au départ, je ma suis posé une question. Si c’était quelqu’un de ma famille qui avait été touchée, qu’est ce que je pourrais peindre qui serait le plus acceptable, le plus supportable? J’ai travaillé dans l’indicible entre le réel et l’imaginaire. Ce tableau s’inscrit entre l’écroulement et l’envol, le désespoir et l’espoir ». Une fresque qu’il a peint, sans trop y réfléchir mais qui porte le message d’espoir qu’un jour les hommes pourront vivre en harmonie.
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