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dimanche 07 juillet

Région – Une sénatrice souhaite que le gouvernement élargisse le périmètre de distribution de pastilles d’iode

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nuclear-power-plant-g174055bab_1920Face à la menace nucléaire, les Français sont inquiets et cherchent à se procurer des pastilles d’iode, un médicament préventif qui protège la thyroïde en cas d’accident ou d’attaque nucléaire. Une sénatrice de la région Grand Est souhaite que le gouvernement élargisse le périmètre de distribution des pastilles d’iode. 

Avec la guerre en Ukraine et la menace nucléaire, des Français commencent à s’inquiéter et à se ruer vers les pharmacies pour se procurer des pastilles d’iode. Le médicament protège la thyroïde en cas d’accident ou d’attaque nucléaire. Mais on en trouve uniquement dans les pharmacies situées dans une zone de 20 km autour des sites nucléaires.

Véronique Guillotin, sénatrice centriste (Parti radical) de Meurthe-et-Moselle demande au gouvernement d’élargir le périmètre de distribution de pastilles d’iode.

« Ce périmètre est limité à 20 km en France. Aussi, deux communes d’une même intercommunalité peuvent ne pas être soumises au même régime. Sur mon territoire, la commune de Villerupt est situé à 22km de la centrale de Cattenom, et ne bénéficie pas de cette distribution, tandis que la Belgique prévoit un périmètre de 100 km et le Luxembourg l’a étendu à tout son territoire » explique-t-elle dans une lettre adressée  à Barbara Pompili, Ministre de la transition écologique.

« Nos concitoyens sollicitent leurs élus pour obtenir des pastilles d’iode. Ils ne veulent pas revivre l’injustice de Tchernobyl et ce sentiment d’abandon légitime. A l’heure où la France préside le Conseil de l’Union européenne, il me semble plus que temps de mettre en action la coopération, notamment transfrontalière, sur un sujet aussi majeur » Poursuit-elle.

En cette période inédite, Véronique Guillotin pense qu’il faut se tenir prêts à tous les scénarios possibles, « y compris les plus insoutenables, pour tenter d’en limiter les éventuelles conséquences ».

C.K.N.

 

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Région Grand Est

Russie

nuclear-power-plant-g174055bab_1920Face à la menace nucléaire, les Français sont inquiets et cherchent à se procurer des pastilles d’iode, un médicament préventif qui protège la thyroïde en cas d’accident ou d’attaque nucléaire. Une sénatrice de la région Grand Est souhaite que le gouvernement élargisse le périmètre de distribution des pastilles d’iode. 

Avec la guerre en Ukraine et la menace nucléaire, des Français commencent à s’inquiéter et à se ruer vers les pharmacies pour se procurer des pastilles d’iode. Le médicament protège la thyroïde en cas d’accident ou d’attaque nucléaire. Mais on en trouve uniquement dans les pharmacies situées dans une zone de 20 km autour des sites nucléaires.

Véronique Guillotin, sénatrice centriste (Parti radical) de Meurthe-et-Moselle demande au gouvernement d’élargir le périmètre de distribution de pastilles d’iode.

« Ce périmètre est limité à 20 km en France. Aussi, deux communes d’une même intercommunalité peuvent ne pas être soumises au même régime. Sur mon territoire, la commune de Villerupt est situé à 22km de la centrale de Cattenom, et ne bénéficie pas de cette distribution, tandis que la Belgique prévoit un périmètre de 100 km et le Luxembourg l’a étendu à tout son territoire » explique-t-elle dans une lettre adressée  à Barbara Pompili, Ministre de la transition écologique.

« Nos concitoyens sollicitent leurs élus pour obtenir des pastilles d’iode. Ils ne veulent pas revivre l’injustice de Tchernobyl et ce sentiment d’abandon légitime. A l’heure où la France préside le Conseil de l’Union européenne, il me semble plus que temps de mettre en action la coopération, notamment transfrontalière, sur un sujet aussi majeur » Poursuit-elle.

En cette période inédite, Véronique Guillotin pense qu’il faut se tenir prêts à tous les scénarios possibles, « y compris les plus insoutenables, pour tenter d’en limiter les éventuelles conséquences ».

C.K.N.

 

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