Un dispositif d’accueil des déplacés ukrainiens s’organise dans les Vosges. Une troisième réunion a eu lieu ce mercredi en préfecture à Epinal avec les différents acteurs concernés.
Yves Séguy, préfet des Vosges et ses interlocuteurs ont fait le point sur les dispositifs qui seront mis en place lors de l’arrivés des familles ukrainiennes. Certains sont déjà arrivés sur le département mais à titre privés. « Nous nous organisons pour les accueillir le mieux possible, tant au niveau de l’hébergement, de l’aide alimentaire. Il faudra mettre en place la CMU (couverture maladie universelle), pour certains faciliter l’accès au travail, aider les enfants à être scolarisés. Nous avons déjà identifié des enseignants capables de les aider malgré la barrière de la langue. Et leur proposer des activités sportives ».
Tous les acteurs du département sont mobilisés avec la volonté d’agir ensemble pour un accueil de qualité et solidaire. Le monde social, associatif, de la santé, des entreprises, des collectivités locales et les bailleurs sociaux… Entre 40 et 50 personnes sont attendues dans les prochains jours, dans un premier temps dans l’agglomération d’Epinal, à Saint-Dié et à Neufchâteau. Ils seront plutôt logés dans des appartements et accompagnés par des associations spécialisées.
Les différents interlocuteurs souhaitent mettre en place et assurer un accueil et un accompagnement à la hauteur des enjeux de l’instant pour des hommes, des femmes et des enfants vulnérables qui ont besoin de bienveillance et de vigilance.
Un dispositif d’accueil des déplacés ukrainiens s’organise dans les Vosges. Une troisième réunion a eu lieu ce mercredi en préfecture à Epinal avec les différents acteurs concernés.
Yves Séguy, préfet des Vosges et ses interlocuteurs ont fait le point sur les dispositifs qui seront mis en place lors de l’arrivés des familles ukrainiennes. Certains sont déjà arrivés sur le département mais à titre privés. « Nous nous organisons pour les accueillir le mieux possible, tant au niveau de l’hébergement, de l’aide alimentaire. Il faudra mettre en place la CMU (couverture maladie universelle), pour certains faciliter l’accès au travail, aider les enfants à être scolarisés. Nous avons déjà identifié des enseignants capables de les aider malgré la barrière de la langue. Et leur proposer des activités sportives ».
Tous les acteurs du département sont mobilisés avec la volonté d’agir ensemble pour un accueil de qualité et solidaire. Le monde social, associatif, de la santé, des entreprises, des collectivités locales et les bailleurs sociaux… Entre 40 et 50 personnes sont attendues dans les prochains jours, dans un premier temps dans l’agglomération d’Epinal, à Saint-Dié et à Neufchâteau. Ils seront plutôt logés dans des appartements et accompagnés par des associations spécialisées.
Les différents interlocuteurs souhaitent mettre en place et assurer un accueil et un accompagnement à la hauteur des enjeux de l’instant pour des hommes, des femmes et des enfants vulnérables qui ont besoin de bienveillance et de vigilance.
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