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dimanche 07 juillet

Assises – de 25 ans à 8 ans requis contre les accusés de torture

Ils comparaissent pour séquestration, violence en réunion et actes de barbarie

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substitut du procureur et avocat des parties civiles

L’avocat général a requis de 25 ans à 8 ans pour les cinq prévenus dans le cadre de l’affaire de séquestration, violence en réunion, torture et actes de barbarie et viol sur fond de trafic de stupéfiants qui est jugé depuis une semaine à la cour d’assises d’Epinal.

Les actes que tous les magistrats la partie civile tout comme les avocats de la défense, ont qualifié « d’indicible » seront examinés demain matin par les jurés. Ils devront répondre à pas moins de 46 questions pour chacun des accusés et déterminer leur peine d’emprisonnement.

Des peines à la hauteur des souffrances des victimes

Ce jeudi matin, l’avocat général, dans son réquisitoire a demandé une peine de 25 ans pour le prévenus le plus impliqué dans les actes de torture, actes de barbarie, séquestration. C’est le seul à être accusé de viol. Ensuite, suivant l’implication de chacun, les peines sont dégressives. Un de ses frères encoure 20 et l’autre 8 ans. Les deux complices risquent 10 et 15 ans d’emprisonnement. A part le viol qui est contesté, tous ont reconnu leur participations aux faits qui leur sont reprochés. A  l’annonce des réquisition, l’un d’entre eux s’est effondré.

avocats de la défense

Aucune maladie mentale

Les avocats de la défense ont principalement plaider pour que la cour tienne compte de certaines circonstances atténuantes dues à des parcours de vie difficile.  Les différents experts qui se sont succédés à la barre ont tous conclu qu’aucun ne souffrait de maladie mentale même si le principal accusé a des tendances manipulatrices, « sociopathiques » et avec un faible sens moral et d’empathie. A noter que son avocat a contesté l’accusation de viol.
Ils se sont surtout attachés à démontrer leur jeunesse difficile, sans cadre, avec un sentiment d’abandon parental, qui les a conduit à la délinquance et dans le monde des stupéfiants. Ils ont aussi demandé à ce que les peines qui vont être prononcées demain  » leur donne une visibilité sur le futur et qui n’empêchera pas un nouveau départ ».

Le verdict est attendu demain dans la journée.

 

plaidoieries

procès séquestration et actes de barbarie

réquisitions

substitut du procureur et avocat des parties civiles

L’avocat général a requis de 25 ans à 8 ans pour les cinq prévenus dans le cadre de l’affaire de séquestration, violence en réunion, torture et actes de barbarie et viol sur fond de trafic de stupéfiants qui est jugé depuis une semaine à la cour d’assises d’Epinal.

Les actes que tous les magistrats la partie civile tout comme les avocats de la défense, ont qualifié « d’indicible » seront examinés demain matin par les jurés. Ils devront répondre à pas moins de 46 questions pour chacun des accusés et déterminer leur peine d’emprisonnement.

Des peines à la hauteur des souffrances des victimes

Ce jeudi matin, l’avocat général, dans son réquisitoire a demandé une peine de 25 ans pour le prévenus le plus impliqué dans les actes de torture, actes de barbarie, séquestration. C’est le seul à être accusé de viol. Ensuite, suivant l’implication de chacun, les peines sont dégressives. Un de ses frères encoure 20 et l’autre 8 ans. Les deux complices risquent 10 et 15 ans d’emprisonnement. A part le viol qui est contesté, tous ont reconnu leur participations aux faits qui leur sont reprochés. A  l’annonce des réquisition, l’un d’entre eux s’est effondré.

avocats de la défense

Aucune maladie mentale

Les avocats de la défense ont principalement plaider pour que la cour tienne compte de certaines circonstances atténuantes dues à des parcours de vie difficile.  Les différents experts qui se sont succédés à la barre ont tous conclu qu’aucun ne souffrait de maladie mentale même si le principal accusé a des tendances manipulatrices, « sociopathiques » et avec un faible sens moral et d’empathie. A noter que son avocat a contesté l’accusation de viol.
Ils se sont surtout attachés à démontrer leur jeunesse difficile, sans cadre, avec un sentiment d’abandon parental, qui les a conduit à la délinquance et dans le monde des stupéfiants. Ils ont aussi demandé à ce que les peines qui vont être prononcées demain  » leur donne une visibilité sur le futur et qui n’empêchera pas un nouveau départ ».

Le verdict est attendu demain dans la journée.

 

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