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jeudi 04 juillet

Réforme des retraites : le Rassemblement National dénonce la « trahison des parlementaires vosgiens »

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Sebastien-Humbert-

Sebastien-Humbert-

Après le rejet des motions de censure, le Rassemblement national des Vosges l’attitude des parlementaires vosgiens qui n’ont pas voté pour ces motions.

« Réforme des retraites : la trahison des parlementaires vosgiens

Conscient qu’il était minoritaire à l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron a décidé, une nouvelle fois, d’humilier le parlement et de mépriser les Français en utilisant l’article 49-3 de la Constitution pour faire adopter sa réforme des retraites.

Ce onzième passage en force, depuis le début de la législature, a eu pour conséquence le dépôt de deux motions de censure par l’opposition : l’une par le Rassemblement National, l’autre transpartisane à l’initiative du groupe LIOT, chacune visant à renverser le gouvernement.

À l’issue du vote du 20 mars 2023, la motion de censure transpartisane a été rejetée à 9 voix près et nous livre un enseignement crucial : Les Républicains sont la béquille d’Emmanuel Macron, ils n’incarnent en rien l’opposition et sont même en réalité ses meilleurs alliés.

Malgré l’opposition de 71% des Français à la réforme des retraites1, aucun député Vosgien n’a voté les motions de censure. Ces derniers, en réalité favorables à cette réforme, tout comme les deux sénateurs Vosgiens, ont préféré se cacher derrière des prétextes fallacieux pour masquer leur manque de courage plutôt que de suivre l’avis des Français.

Leur vote s’apparente à une trahison envers les Français et notamment envers la classe ouvrière vosgienne, éprouvée par des années de travail physique et pénible, et qui devrait pouvoir profiter d’une retraite bien méritée sans se voir infliger deux années supplémentaires.

 

Lorsque Marine Le Pen arrivera au pouvoir, elle s’attachera à annuler cette réforme et proposera de mettre en place une politique de retraites juste et économiquement soutenable : un jeune ayant commencé avant 20 ans ne cotisera pas plus de 40 annuités et pourra bénéficier d’une retraite à partir de 60 ans. Et pour ceux ayant commencé après 20 ans, ce système sera progressif sans jamais dépasser 42 annuités et 62 ans d’âge légal.

Source : 1Sondage Elabe pour BFMTV »

Sébastien Humbert 

Délégué départemental du RN Vosges

Conseiller municipal de La Vôge-les-Bains

Conseiller régional du Grand Est

le Rassemblement National

réforme des retraites

rejet des motions de censure

vosges

Sebastien-Humbert-

Sebastien-Humbert-

Après le rejet des motions de censure, le Rassemblement national des Vosges l’attitude des parlementaires vosgiens qui n’ont pas voté pour ces motions.

« Réforme des retraites : la trahison des parlementaires vosgiens

Conscient qu’il était minoritaire à l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron a décidé, une nouvelle fois, d’humilier le parlement et de mépriser les Français en utilisant l’article 49-3 de la Constitution pour faire adopter sa réforme des retraites.

Ce onzième passage en force, depuis le début de la législature, a eu pour conséquence le dépôt de deux motions de censure par l’opposition : l’une par le Rassemblement National, l’autre transpartisane à l’initiative du groupe LIOT, chacune visant à renverser le gouvernement.

À l’issue du vote du 20 mars 2023, la motion de censure transpartisane a été rejetée à 9 voix près et nous livre un enseignement crucial : Les Républicains sont la béquille d’Emmanuel Macron, ils n’incarnent en rien l’opposition et sont même en réalité ses meilleurs alliés.

Malgré l’opposition de 71% des Français à la réforme des retraites1, aucun député Vosgien n’a voté les motions de censure. Ces derniers, en réalité favorables à cette réforme, tout comme les deux sénateurs Vosgiens, ont préféré se cacher derrière des prétextes fallacieux pour masquer leur manque de courage plutôt que de suivre l’avis des Français.

Leur vote s’apparente à une trahison envers les Français et notamment envers la classe ouvrière vosgienne, éprouvée par des années de travail physique et pénible, et qui devrait pouvoir profiter d’une retraite bien méritée sans se voir infliger deux années supplémentaires.

 

Lorsque Marine Le Pen arrivera au pouvoir, elle s’attachera à annuler cette réforme et proposera de mettre en place une politique de retraites juste et économiquement soutenable : un jeune ayant commencé avant 20 ans ne cotisera pas plus de 40 annuités et pourra bénéficier d’une retraite à partir de 60 ans. Et pour ceux ayant commencé après 20 ans, ce système sera progressif sans jamais dépasser 42 annuités et 62 ans d’âge légal.

Source : 1Sondage Elabe pour BFMTV »

Sébastien Humbert 

Délégué départemental du RN Vosges

Conseiller municipal de La Vôge-les-Bains

Conseiller régional du Grand Est

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