Quel est le point commun entre l’EHPAD de Portieux, le Centre social de la Vierge et les communes de Charmes, Vincey, Sanchey, Saint-Nabord, Plombières et le Val d’Ajol ? Ils participent, tout comme quatre familles, au défi CAP OU PAS CAP qui consiste à diminuer ses déchets.
Philippe Claudon, président du SiCOVAD et ses collaborateurs ont reçu ce vendredi 26 mai les personnes qui souhaitent s’impliquer dans ce projet afin de leur expliquer les enjeux et les modalités pratiques de ce défi. Le vice-président a marqué les esprits en déclarant « une tonne de déchets non incinérés, c’est 130 euros d’économie »
Puis la parole a été donnée à chaque participant ce qui a permis d’échanger, de témoigner et de faire le point sur les raisons de l’engagement de chacun. Quelques constats se sont très vite dégagés : la volonté d’aller plus loin dans une démarche de transition écologique déjà entamée, d’agir plus et mieux, de sensibiliser autour de soi.
Des problématiques communes ont émergé pour les municipalités : comment limiter les déchets des cantines, des cimetières, des bureaux, des manifestations festives ? Comment convaincre les irréductibles ?
Et c’est là où le SICOVAD intervient car toutes ces familles et ces collectivités vont bénéficier d’un accompagnement personnalisé, de conseils et d’astuces qui permettront d’être plus respectueux de l’environnement et ce qui ne gâche rien, de gagner en pouvoir d’achat.
Le président du SICOVAD a aussi souligné le rôle important de ces participants : devenir des ambassadeurs pour communiquer et transmettre les gestes vertueux autour d’eux.
La signature d’une charte et un moment convivial ont achevé cette sympathique rencontre.
Quel est le point commun entre l’EHPAD de Portieux, le Centre social de la Vierge et les communes de Charmes, Vincey, Sanchey, Saint-Nabord, Plombières et le Val d’Ajol ? Ils participent, tout comme quatre familles, au défi CAP OU PAS CAP qui consiste à diminuer ses déchets.
Philippe Claudon, président du SiCOVAD et ses collaborateurs ont reçu ce vendredi 26 mai les personnes qui souhaitent s’impliquer dans ce projet afin de leur expliquer les enjeux et les modalités pratiques de ce défi. Le vice-président a marqué les esprits en déclarant « une tonne de déchets non incinérés, c’est 130 euros d’économie »
Puis la parole a été donnée à chaque participant ce qui a permis d’échanger, de témoigner et de faire le point sur les raisons de l’engagement de chacun. Quelques constats se sont très vite dégagés : la volonté d’aller plus loin dans une démarche de transition écologique déjà entamée, d’agir plus et mieux, de sensibiliser autour de soi.
Des problématiques communes ont émergé pour les municipalités : comment limiter les déchets des cantines, des cimetières, des bureaux, des manifestations festives ? Comment convaincre les irréductibles ?
Et c’est là où le SICOVAD intervient car toutes ces familles et ces collectivités vont bénéficier d’un accompagnement personnalisé, de conseils et d’astuces qui permettront d’être plus respectueux de l’environnement et ce qui ne gâche rien, de gagner en pouvoir d’achat.
Le président du SICOVAD a aussi souligné le rôle important de ces participants : devenir des ambassadeurs pour communiquer et transmettre les gestes vertueux autour d’eux.
La signature d’une charte et un moment convivial ont achevé cette sympathique rencontre.
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