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dimanche 07 juillet

Imaginales : Joffrey Lebourg présente « Le grand tournoi » 3e tome d’une série de 7 volumes

« Les sept reliques » : une saga de fantasy très personnelle et captivante

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Jeoffrey Lebourg

Avec sa cape rouge et sa chemise blanche médiévale, Joffrey Lebourg ressemble à un adolescent. Il a pourtant 26 ans et s’il ne vit pas encore de sa plume, il a déjà publié 11 romans.  Rencontre avec un jeune auteur qui monte et qui devrait faire parler de lui.

Quelles sont vos sources d’inspirations ?  J’ai beaucoup d’influences, mon univers est cosmopolite, soit j’invente, soit je respecte et dans ce cas, je  m’inspire beaucoup du réel, j’ai toujours de la documentation derrière, je ne veux pas faire de l’approximatif. Le médiéval fantastique m’inspire,  Tolkien par exemple mais pas que, Les sept royaumes  m’ont marqué ainsi que La quête de Deltora.   La lecture me sert à définir les personnages, certains vont avoir aussi des petits morceaux de moi que je vais briser en plusieurs éclats d’un personnage à l’autre.  L’audiovisuel m’inspire  plutôt pour les descriptions car j’ai du mal à visualiser les paysages. Les actions, c’est vraiment mon imaginaire. Je n’ai pas le syndrome de la page blanche.

Comment écrivez-vous ? A quel rythme ?   C’est vraiment par période, je vais écrire intensément sur tout mon temps libre,  ensuite, je vais arrêter plusieurs semaines pour me ressourcer,  trouver de nouvelles idées. Pour ce qui est de la façon d’écrire, cela dépend des séries. Pour les sept reliques, j’ai eu le besoin de cadrer parce que j’ai inventé un monde de toutes pièces, il y a donc un énorme travail préparatoire, de plusieurs années, en amont. J’ai une bonne idée de la fin mais tous les points ne sont pas résolus à l’avance.

Que raconte l’histoire des sept reliques ? Il s’agit de la quête d’une jeune fille de 16 ans, Cornélia,  qui pour sauver le monde va être désignée, bien malgré elle, comme  étant la seule personne capable de réunir les sept reliques, des fragments de pouvoir divin qui ont été laissés sur terre.  Cornélia n’a pas de pouvoir magique, elle ne sait pas utiliser une épée, elle va devoir apprendre à se comporter avec courage. Dans chaque tome, il y a des éléments  immuables comme dans un conte mais j’essaye que ce ne soit pas répétitif en changeant les contextes et les épreuves.

Quelle valeurs défendez-vous dans vos ouvrages ? Sans vouloir donner de leçon, J’essaye à ma manière de me comporter en féministe en mettant en scène des personnages principaux qui sont des femmes. J’essaye aussi de sensibiliser mes lecteurs à l’écologie, la tolérance, l’acceptation de l’autre tel qu’il est.

Aimeriez-vous être adapté au cinéma ? Ce serait un rêve à condition que ce soit fidèle à mon livre. Si les auteurs s’intéressent aux adaptations filmiques, c’est pour rendre leur travail plus visible. Je mets tellement de soin et de temps à créer mon univers que je préfèrerais que les spectateurs n’aient pas de mauvaise surprise.

Que pensez-vous des Imaginales ? Depuis que je suis édité par Les Éditions des auteurs des livres, j’ai plus facilement accès aux grands festivals comme les Imaginales.   Ce  que je constate à Épinal par rapport à  d’autres salons, c’est qu’on reste sur la culture du livre et c’est ce que j’apprécie tout particulièrement.

Joffrey Lebourg  dédicace encore tout ce dimanche 28 mai aux Imaginales (stand à l’extérieur de la bulle)

Auteur de fantasy

festival Les Imaginales

Joffrey lEBOURG

Les sept reliques

Jeoffrey Lebourg

Avec sa cape rouge et sa chemise blanche médiévale, Joffrey Lebourg ressemble à un adolescent. Il a pourtant 26 ans et s’il ne vit pas encore de sa plume, il a déjà publié 11 romans.  Rencontre avec un jeune auteur qui monte et qui devrait faire parler de lui.

Quelles sont vos sources d’inspirations ?  J’ai beaucoup d’influences, mon univers est cosmopolite, soit j’invente, soit je respecte et dans ce cas, je  m’inspire beaucoup du réel, j’ai toujours de la documentation derrière, je ne veux pas faire de l’approximatif. Le médiéval fantastique m’inspire,  Tolkien par exemple mais pas que, Les sept royaumes  m’ont marqué ainsi que La quête de Deltora.   La lecture me sert à définir les personnages, certains vont avoir aussi des petits morceaux de moi que je vais briser en plusieurs éclats d’un personnage à l’autre.  L’audiovisuel m’inspire  plutôt pour les descriptions car j’ai du mal à visualiser les paysages. Les actions, c’est vraiment mon imaginaire. Je n’ai pas le syndrome de la page blanche.

Comment écrivez-vous ? A quel rythme ?   C’est vraiment par période, je vais écrire intensément sur tout mon temps libre,  ensuite, je vais arrêter plusieurs semaines pour me ressourcer,  trouver de nouvelles idées. Pour ce qui est de la façon d’écrire, cela dépend des séries. Pour les sept reliques, j’ai eu le besoin de cadrer parce que j’ai inventé un monde de toutes pièces, il y a donc un énorme travail préparatoire, de plusieurs années, en amont. J’ai une bonne idée de la fin mais tous les points ne sont pas résolus à l’avance.

Que raconte l’histoire des sept reliques ? Il s’agit de la quête d’une jeune fille de 16 ans, Cornélia,  qui pour sauver le monde va être désignée, bien malgré elle, comme  étant la seule personne capable de réunir les sept reliques, des fragments de pouvoir divin qui ont été laissés sur terre.  Cornélia n’a pas de pouvoir magique, elle ne sait pas utiliser une épée, elle va devoir apprendre à se comporter avec courage. Dans chaque tome, il y a des éléments  immuables comme dans un conte mais j’essaye que ce ne soit pas répétitif en changeant les contextes et les épreuves.

Quelle valeurs défendez-vous dans vos ouvrages ? Sans vouloir donner de leçon, J’essaye à ma manière de me comporter en féministe en mettant en scène des personnages principaux qui sont des femmes. J’essaye aussi de sensibiliser mes lecteurs à l’écologie, la tolérance, l’acceptation de l’autre tel qu’il est.

Aimeriez-vous être adapté au cinéma ? Ce serait un rêve à condition que ce soit fidèle à mon livre. Si les auteurs s’intéressent aux adaptations filmiques, c’est pour rendre leur travail plus visible. Je mets tellement de soin et de temps à créer mon univers que je préfèrerais que les spectateurs n’aient pas de mauvaise surprise.

Que pensez-vous des Imaginales ? Depuis que je suis édité par Les Éditions des auteurs des livres, j’ai plus facilement accès aux grands festivals comme les Imaginales.   Ce  que je constate à Épinal par rapport à  d’autres salons, c’est qu’on reste sur la culture du livre et c’est ce que j’apprécie tout particulièrement.

Joffrey Lebourg  dédicace encore tout ce dimanche 28 mai aux Imaginales (stand à l’extérieur de la bulle)

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