Matériel technique de pointe à l’appui, Martin Rumeau a dévoilé toutes les ficelles de son métier de régisseur pour le spectacle vivant aux élèves des classes de seconde et de première inscrits à l’option théâtre du lycée Louis Lapicque.
Faire du théâtre, c’est aussi comprendre les préparations techniques mises en œuvre en amont pour la réussite du spectacle, qu’il s’agisse du son, de la lumière ou bien encore de la réalisation des décors. Pour ce faire, Delphine Confortès, professeur de lettres et Jean-Baptiste Ducret, CPE au lycée Lapicque ont conduit les élèves dans une salle de la Louvière devant un professionnel, Martin Rumeau, régisseur passionné de Scènes Vosges. Avant de monter sur les planches, les comédiens en herbe ont reçu les rudiments techniques indispensables à leur futur jeu théâtral.
Côté cour, côte jardin, coupe-bas, muter ou démuter, plan de feux, faire le noir, avoir le monstre du spectacle…D’abord, c’est tout un lexique spécifique à connaître. Savoir aussi que les dimensions de la salle doivent être adaptées au spectacle, que les techniciens travaillent par tableaux ou que le régisseur plateau assurant la mise en place du décor s’habille généralement de noir pour être invisible du public.
Puis Martin Rumeau montre comment créer l’univers visuel par la mise en valeur des objets et des acteurs grâce aux choix des lumières. Les élèves apprennent ainsi à déchiffrer un plan de feux, croquis qui détermine l’implantation et le réglage des projecteurs vers la scène.
Le son fait ensuite l’objet d’une explication pointue car il est essentiel au théâtre. « Il faut équilibrer le son, on le spatialise pour entendre toutes les fréquences, on peut monter les aigus pour éclaircir la voix et surtout ce qu’il faut éviter à tout prix, c’est le larsen, il ne faut jamais passer devant l’enceinte avec le micro » conseille Martin Rumeau.
Des ateliers pratiques s’invitent tout au long de l’après-midi et les lycéens jouent les techniciens avec l’aide de Martin. Nul doute que toutes les connaissances acquises leur serviront sur la scène quand le moment sera venu et qui sait, entraîneront des vocations. A suivre !
Matériel technique de pointe à l’appui, Martin Rumeau a dévoilé toutes les ficelles de son métier de régisseur pour le spectacle vivant aux élèves des classes de seconde et de première inscrits à l’option théâtre du lycée Louis Lapicque.
Faire du théâtre, c’est aussi comprendre les préparations techniques mises en œuvre en amont pour la réussite du spectacle, qu’il s’agisse du son, de la lumière ou bien encore de la réalisation des décors. Pour ce faire, Delphine Confortès, professeur de lettres et Jean-Baptiste Ducret, CPE au lycée Lapicque ont conduit les élèves dans une salle de la Louvière devant un professionnel, Martin Rumeau, régisseur passionné de Scènes Vosges. Avant de monter sur les planches, les comédiens en herbe ont reçu les rudiments techniques indispensables à leur futur jeu théâtral.
Côté cour, côte jardin, coupe-bas, muter ou démuter, plan de feux, faire le noir, avoir le monstre du spectacle…D’abord, c’est tout un lexique spécifique à connaître. Savoir aussi que les dimensions de la salle doivent être adaptées au spectacle, que les techniciens travaillent par tableaux ou que le régisseur plateau assurant la mise en place du décor s’habille généralement de noir pour être invisible du public.
Puis Martin Rumeau montre comment créer l’univers visuel par la mise en valeur des objets et des acteurs grâce aux choix des lumières. Les élèves apprennent ainsi à déchiffrer un plan de feux, croquis qui détermine l’implantation et le réglage des projecteurs vers la scène.
Le son fait ensuite l’objet d’une explication pointue car il est essentiel au théâtre. « Il faut équilibrer le son, on le spatialise pour entendre toutes les fréquences, on peut monter les aigus pour éclaircir la voix et surtout ce qu’il faut éviter à tout prix, c’est le larsen, il ne faut jamais passer devant l’enceinte avec le micro » conseille Martin Rumeau.
Des ateliers pratiques s’invitent tout au long de l’après-midi et les lycéens jouent les techniciens avec l’aide de Martin. Nul doute que toutes les connaissances acquises leur serviront sur la scène quand le moment sera venu et qui sait, entraîneront des vocations. A suivre !
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