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jeudi 04 juillet

Suicide de Lucas : après la relaxe des harceleurs, le parquet général et sa mère se pourvoient en cassation

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lucas-decesNous vous en parlions, Les quatre mineurs poursuivis pour le harcèlement du jeune Lucas, 13 ans, ont été relaxés par la Cour d’appel de Nancy le 6 novembre dernier. La mère de l’adolescent, ainsi que le parquet général, ont annoncé hier se pourvoir en cassation.

Le parquet général de Nancy et la mère de Lucas, qui s’est suicidé en janvier 2023 alors qu’il était scolarisé dans un établissement scolaire à Golbey, ont annoncé lundi 13 novembre 2023 se pourvoir en cassation après la relaxe des quatre collégiens accusés d’avoir harcelé l’adolescent.

Lucas s’est donné la mort le 7 janvier dernier à l’âge de 13 ans. Scolarisé dans un collège à Golbey, il se disait victime de harcèlement en raison de son homosexualité assumée. Il avait d’ailleurs écrit un mot exprimant sa volonté de mettre fin à ses jours.

Deux garçons et deux filles étaient poursuivis pour des faits de « harcèlement ayant entraîné le suicide ». Les quatre adolescents ont été relaxés ce lundi 6 novembre. Selon la cour « il y a absence d’éléments qui caractériseraient le harcèlement. ». Après décision la mère de Lucas était sous le choc, selon son avocate, Me Faivre.

La relaxe des quatre mineurs avait entraîné le rejet de la demande de dommages et intérêts demandée par la famille de Lucas.

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Suicide de Lucas

lucas-decesNous vous en parlions, Les quatre mineurs poursuivis pour le harcèlement du jeune Lucas, 13 ans, ont été relaxés par la Cour d’appel de Nancy le 6 novembre dernier. La mère de l’adolescent, ainsi que le parquet général, ont annoncé hier se pourvoir en cassation.

Le parquet général de Nancy et la mère de Lucas, qui s’est suicidé en janvier 2023 alors qu’il était scolarisé dans un établissement scolaire à Golbey, ont annoncé lundi 13 novembre 2023 se pourvoir en cassation après la relaxe des quatre collégiens accusés d’avoir harcelé l’adolescent.

Lucas s’est donné la mort le 7 janvier dernier à l’âge de 13 ans. Scolarisé dans un collège à Golbey, il se disait victime de harcèlement en raison de son homosexualité assumée. Il avait d’ailleurs écrit un mot exprimant sa volonté de mettre fin à ses jours.

Deux garçons et deux filles étaient poursuivis pour des faits de « harcèlement ayant entraîné le suicide ». Les quatre adolescents ont été relaxés ce lundi 6 novembre. Selon la cour « il y a absence d’éléments qui caractériseraient le harcèlement. ». Après décision la mère de Lucas était sous le choc, selon son avocate, Me Faivre.

La relaxe des quatre mineurs avait entraîné le rejet de la demande de dommages et intérêts demandée par la famille de Lucas.

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