Image d’archives
Pour faciliter l’accès aux munitions de chasse, les bureaux de tabacs pourront vendre des munitions à compter du 1er janvier 2024. Pour obtenir la certification, les buralistes devront passer un examen après une formation de deux jours.
Après les cartouches de cigarettes, les cartouches de fusils de chasse ! À partir du 1er janvier 2024, les bureaux de tabac pourront vendre des munitions de chasse.
En effet, samedi dernier, le ministère de l’Intérieur a confirmé l’intérêt des bureaux de tabac pour ce nouveau dispositif. Pour vendre les munitions de chasse, les buralistes devront passer une formation de deux jours et un examen. Cette nouvelle certification remplacera le diplôme d’État d’armurier ou de certification de qualification professionnelle d’armurier.
La mesure fait déjà débat et soulève plusieurs questions en matière de sécurité. « C’est un peu étrange comme mesure, je trouve. Ce n’est pas très rassurant » explique un vosgien croisé dans un bureau de tabac. L’objectif est de couvrir les zones rurales dépourvues d’armurerie. Les buralistes se réjouissent de cette mesure. Cela leur permettra d’ajouter une nouvelle corde à leur arc. Les buralistes sont déjà engagés depuis longtemps dans une démarche de diversification de leur activité afin de pallier à la baisse de la vente des cigarettes.
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Pour faciliter l’accès aux munitions de chasse, les bureaux de tabacs pourront vendre des munitions à compter du 1er janvier 2024. Pour obtenir la certification, les buralistes devront passer un examen après une formation de deux jours.
Après les cartouches de cigarettes, les cartouches de fusils de chasse ! À partir du 1er janvier 2024, les bureaux de tabac pourront vendre des munitions de chasse.
En effet, samedi dernier, le ministère de l’Intérieur a confirmé l’intérêt des bureaux de tabac pour ce nouveau dispositif. Pour vendre les munitions de chasse, les buralistes devront passer une formation de deux jours et un examen. Cette nouvelle certification remplacera le diplôme d’État d’armurier ou de certification de qualification professionnelle d’armurier.
La mesure fait déjà débat et soulève plusieurs questions en matière de sécurité. « C’est un peu étrange comme mesure, je trouve. Ce n’est pas très rassurant » explique un vosgien croisé dans un bureau de tabac. L’objectif est de couvrir les zones rurales dépourvues d’armurerie. Les buralistes se réjouissent de cette mesure. Cela leur permettra d’ajouter une nouvelle corde à leur arc. Les buralistes sont déjà engagés depuis longtemps dans une démarche de diversification de leur activité afin de pallier à la baisse de la vente des cigarettes.
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