C’est au centre social de Golbey que ce lundi 15 janvier, Stéphane Viry a fait un bilan de son activité de député pour 2023 et annoncé ses chevaux de bataille pour 2024.
Si Stéphane Viry fustige le chaos qui règne parfois à l’assemblée nationale « en 2023, l’assemblée a été trop souvent tumultueuse, malmenée, abimée par des comportements excessifs, j’en tire les conséquences, un ressenti très négatif des concitoyens et un amalgame envers l’ensemble des députés » il avoue cependant « j’aime beaucoup l’assemblée nationale (…) parce que c’est un pilier de la démocratie, un des socles de nos institutions, l’assemblée nationale doit par nature ne pas accepter d’être la caution du gouvernement, oui à une assemblée indocile »
Ses 3 combats prioritaires pour 2024
La santé
« Le système de santé français est à bout de souffle, au préjudice tout autant des patients que des professionnels, la donne a changé, il y a une ressource humaine qui s’est raréfiée alors que les besoins ont augmenté. Il faut un big bang total, une commande publique à 15 ans, il faut savoir qui fait quoi entre le public et le privé, comment on finance et comment on organise tout cela ».
Le travail
« Nous avons un système qui n’incite pas les gens à travailler, nous avons un système qui ne permet pas aux classes moyennes d’y arriver alors qu’elles sont souvent en première ligne sur des fonctions essentielles (…). La question de la valeur travail, sa reconnaissance, sa valorisation, son incitation me paraît devoir impérativement être traitée encore plus en 2024 ».
La Laïcité
« La laïcité en France, c’est le fruit de notre histoire, c’est notre identité, (…) la laïcité, c’est notre République, c’est le combat désormais pour 2024 (…) la protéger, la défendre, c’est l’avenir de la France, c’est l’avenir de nos enfants, c’est vivre dans un pays de liberté »
C’est au centre social de Golbey que ce lundi 15 janvier, Stéphane Viry a fait un bilan de son activité de député pour 2023 et annoncé ses chevaux de bataille pour 2024.
Si Stéphane Viry fustige le chaos qui règne parfois à l’assemblée nationale « en 2023, l’assemblée a été trop souvent tumultueuse, malmenée, abimée par des comportements excessifs, j’en tire les conséquences, un ressenti très négatif des concitoyens et un amalgame envers l’ensemble des députés » il avoue cependant « j’aime beaucoup l’assemblée nationale (…) parce que c’est un pilier de la démocratie, un des socles de nos institutions, l’assemblée nationale doit par nature ne pas accepter d’être la caution du gouvernement, oui à une assemblée indocile »
Ses 3 combats prioritaires pour 2024
La santé
« Le système de santé français est à bout de souffle, au préjudice tout autant des patients que des professionnels, la donne a changé, il y a une ressource humaine qui s’est raréfiée alors que les besoins ont augmenté. Il faut un big bang total, une commande publique à 15 ans, il faut savoir qui fait quoi entre le public et le privé, comment on finance et comment on organise tout cela ».
Le travail
« Nous avons un système qui n’incite pas les gens à travailler, nous avons un système qui ne permet pas aux classes moyennes d’y arriver alors qu’elles sont souvent en première ligne sur des fonctions essentielles (…). La question de la valeur travail, sa reconnaissance, sa valorisation, son incitation me paraît devoir impérativement être traitée encore plus en 2024 ».
La Laïcité
« La laïcité en France, c’est le fruit de notre histoire, c’est notre identité, (…) la laïcité, c’est notre République, c’est le combat désormais pour 2024 (…) la protéger, la défendre, c’est l’avenir de la France, c’est l’avenir de nos enfants, c’est vivre dans un pays de liberté »
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