photos Hedera Enstib
A l’Enstib, les étudiants ingénieurs de l’école du bois ont créée une nouvelle association humanitaire baptisée Hedera. Grâce à cette association, ils vont pouvoir organiser chaque année une opération solidaire au Togo. Elle remplace Maroc’ENSTIB.
Anciennement Maroc’ENSTIB, Hedera a été créée en septembre 2022 sous l’impulsion d’Alain CONTAL et d’une dizaine d’étudiants de l’ENSTIB. Leur projet est simple : partir au Togo pendant 15 jours afin de venir en aide à la population locale, précisément dans la ville de Solla, dans le nord-est du pays.
Après 8 mois de préparation, huit étudiants accompagnés de Mr et Mme CONTAL se rendent sur place pour agir: Construction d’un Apatam, soutien scolaire, plantation d’arbres, tournoi de foot… Le projet est un succès et est rapidement repris par une nouvelle équipe de 18 étudiants. Douze d’entre eux ainsi que deux étudiantes en Master MEEF et Mr CONTAL se rendront à nouveau au Togo du 13 avril 2024 au 30 avril 2024 pour continuer les actions.
Plusieurs actions sont mises en oeuvre afin de récolter un maximum de fond comme la vente de nourriture lors de soirées étudiantes, la réalisation et vente de nœuds papillons en bois, la vente de produit bois (girafe, mongolfières…) réalisés au laser et la participation au gala de l’école.
Une cagnotte Leetchi est également lancée pour mobiliser un maximum de personnes : https://www.leetchi.com/fr/c/projet-humanitaire-au-togo-1408111
photos Hedera Enstib
A l’Enstib, les étudiants ingénieurs de l’école du bois ont créée une nouvelle association humanitaire baptisée Hedera. Grâce à cette association, ils vont pouvoir organiser chaque année une opération solidaire au Togo. Elle remplace Maroc’ENSTIB.
Anciennement Maroc’ENSTIB, Hedera a été créée en septembre 2022 sous l’impulsion d’Alain CONTAL et d’une dizaine d’étudiants de l’ENSTIB. Leur projet est simple : partir au Togo pendant 15 jours afin de venir en aide à la population locale, précisément dans la ville de Solla, dans le nord-est du pays.
Après 8 mois de préparation, huit étudiants accompagnés de Mr et Mme CONTAL se rendent sur place pour agir: Construction d’un Apatam, soutien scolaire, plantation d’arbres, tournoi de foot… Le projet est un succès et est rapidement repris par une nouvelle équipe de 18 étudiants. Douze d’entre eux ainsi que deux étudiantes en Master MEEF et Mr CONTAL se rendront à nouveau au Togo du 13 avril 2024 au 30 avril 2024 pour continuer les actions.
Plusieurs actions sont mises en oeuvre afin de récolter un maximum de fond comme la vente de nourriture lors de soirées étudiantes, la réalisation et vente de nœuds papillons en bois, la vente de produit bois (girafe, mongolfières…) réalisés au laser et la participation au gala de l’école.
Une cagnotte Leetchi est également lancée pour mobiliser un maximum de personnes : https://www.leetchi.com/fr/c/projet-humanitaire-au-togo-1408111
4 commentaires
choukov
15 jours.
Tourisme néo colonial.
Ce ne sont plus les indigènes des livres d’enfants du XIXème siècle.
Ils vous connaissent bien.
Maxence
Bonjour,
Je peux comprendre l’interrogation que vous porte ce projet. Néanmoins en 15 jours l’année dernière nous avons construit un appatam et planté plus de 240 arbres sans compter les diverses activités organisées avec le village.
Ne vous inquiétez pas, nous n’imposons aucun projet sur place. Chacun d’entre eux est issu d’une demande de nos contacts sur place.
Contal Alain
Bonjour votre remarque a l emporte pièce prouve que vous ne connaissez pas la réalité et l etat de pauvreté des populations locales. Nous ne colonisons pas, simplement nous apportons un soutien materiel mais nous recevons bien plus: c est à dire une grande leçon d humanité conduite par un maître mot: humilité, humilité de celui qui donne, humilité de celui qui reçoit. C’est notre quotidien là bas. A votre disposition pour en parler plus amplement
choukof
Ne nous énervons pas.
En 1981, année de Mitterrand 1er, je posais mon sac et mon fusil à Bangui en République Centrafricaine.
Pour la suite le nombre de caractères n’y suffirait pas et ne serait que littérature forcément incomprise.