Suite à une annonce de fermeture de classe par la DSDEN, la municipalité d’Aydoilles et l’Amicale des écoles ne l’entendent pas de cette oreille et s’opposent à cette incompréhensible décision.
Création d’une chanson originale, banderole devant l’école, communication sur les réseaux sociaux, intervention des médias locaux et appel de rassemblement de soutien aux enseignants ce 20 février, les actions se multiplient à Aydoilles. C’est clairement une fin de non-recevoir pour la fermeture d’une classe envisagée dans cette dynamique commune.
Le maire d’Aydoilles, Stéphane Chrisment confirme « la fermeture n’est pas justifiée, les effectifs se stabilisent, les parents tardent toujours à faire les inscriptions alors prendre les chiffres en février pour faire une carte, c’est un peu tôt. En plus, on a beaucoup de projets en cours, il faut en tenir compte »
En effet, la commune se mobilise pour la petite enfance avec le projet de création d’une Mam et avec un périscolaire qui rayonne et dans lequel est mis beaucoup de moyens. « Des projets attractifs aussi pour les parents des villages voisins » souligne une maman bien décidée à se battre pour son fils.
La trésorière de l’Amicale ajoute « on n’est pas d’accord, évidemment, on passerait de cinq classes à niveau double à quatre dont une à niveau triple qui serait celle de grande section, CP, CE1. Ce n’est pas le bon moment. L’effectif serait de 26 à 27 par classes, c’est beaucoup trop, il faut personnaliser les apprentissages. On se mobilise pour garder un enseignement de qualité. »
Un appel est lancé aux parents habitant Aydoilles ou les communes proches afin qu’ils viennent le plus rapidement possible inscrire leurs enfants à l’école.
Suite à une annonce de fermeture de classe par la DSDEN, la municipalité d’Aydoilles et l’Amicale des écoles ne l’entendent pas de cette oreille et s’opposent à cette incompréhensible décision.
Création d’une chanson originale, banderole devant l’école, communication sur les réseaux sociaux, intervention des médias locaux et appel de rassemblement de soutien aux enseignants ce 20 février, les actions se multiplient à Aydoilles. C’est clairement une fin de non-recevoir pour la fermeture d’une classe envisagée dans cette dynamique commune.
Le maire d’Aydoilles, Stéphane Chrisment confirme « la fermeture n’est pas justifiée, les effectifs se stabilisent, les parents tardent toujours à faire les inscriptions alors prendre les chiffres en février pour faire une carte, c’est un peu tôt. En plus, on a beaucoup de projets en cours, il faut en tenir compte »
En effet, la commune se mobilise pour la petite enfance avec le projet de création d’une Mam et avec un périscolaire qui rayonne et dans lequel est mis beaucoup de moyens. « Des projets attractifs aussi pour les parents des villages voisins » souligne une maman bien décidée à se battre pour son fils.
La trésorière de l’Amicale ajoute « on n’est pas d’accord, évidemment, on passerait de cinq classes à niveau double à quatre dont une à niveau triple qui serait celle de grande section, CP, CE1. Ce n’est pas le bon moment. L’effectif serait de 26 à 27 par classes, c’est beaucoup trop, il faut personnaliser les apprentissages. On se mobilise pour garder un enseignement de qualité. »
Un appel est lancé aux parents habitant Aydoilles ou les communes proches afin qu’ils viennent le plus rapidement possible inscrire leurs enfants à l’école.
1 commentaire
choukof
Peine perdue, et les adultes le savent bien.
Ceux qui « manipulent », de bonne foi probablement, mais ne veulent pas d’un blâme ou d’une mutation dans le neuf-cube.
Ceux qui sont élus et qui, poltrons, sont contents que quelque chose soit fait et feindront d’en être les instigateurs aux prochaines élections
Le rectorat ou un truc nuisible du genre pour qui une action trop médiatique avec blessés ferait de l’ombre à l’avancement.
Les seuls qui pâtiront seront les enfants et par sympathie (la règle en explosifs) les parents.
MAIS les enfants auront toutefois appris:
1) que ce genre de revendication fait avec de tels moyens « potaches » ne sert à rien qu’à amuser les responsables de leur malheur.
2) qu’il est inutile de demander le règlement d’un problème à ceux qui le créent.
(Bon, les enfants, je vous dirais bien ce que vous devriez faire….. mais j’irais en prison après la première phrase).