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jeudi 04 juillet

Imagerie d’Épinal : nouveau report du procès des deux dirigeants

Ils sont jugés devant le tribunal pour abus de bien sociaux

2 commentaires

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Ce mardi, Christine Lorimy et Pacôme Vexlard, les deux anciens associés de l’Imagerie d’Épinal, devaient être jugés devant le tribunal d’Epinal pour abus de bien sociaux. Mais le procès a une nouvelle fois été renvoyé en septembre.

Les deux anciens associés de l’Imagerie d’Épinal, Christine Lorimy et Pacôme Vexlard devaient déjà passer devant le tribunal au mois de mai 2023, mais le procès avait été renvoyé à la demande de l’avocat de Pacôme Vexlard.

Ce mardi, les deux associés qui avaient racheté l’Imagerie d’Epinal en 2014 devaient être jugés devant le tribunal judiciaire d’Epinal pour des abus de bien sociaux commis entre 2014 et 2017. Mais le procès a une nouvelle fois été renvoyé au 3 septembre 2024.

Un procès qui a lieu suite à une plainte déposée par Hervé De Buyer en 2019 auprès du procureur de la République. Depuis, il est décédé, mais la société d’Hervé de De Buyer est toujours partie civile. Il avait alerté les autorités suite à des mouvements suspects.

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Ce mardi, Christine Lorimy et Pacôme Vexlard, les deux anciens associés de l’Imagerie d’Épinal, devaient être jugés devant le tribunal d’Epinal pour abus de bien sociaux. Mais le procès a une nouvelle fois été renvoyé en septembre.

Les deux anciens associés de l’Imagerie d’Épinal, Christine Lorimy et Pacôme Vexlard devaient déjà passer devant le tribunal au mois de mai 2023, mais le procès avait été renvoyé à la demande de l’avocat de Pacôme Vexlard.

Ce mardi, les deux associés qui avaient racheté l’Imagerie d’Epinal en 2014 devaient être jugés devant le tribunal judiciaire d’Epinal pour des abus de bien sociaux commis entre 2014 et 2017. Mais le procès a une nouvelle fois été renvoyé au 3 septembre 2024.

Un procès qui a lieu suite à une plainte déposée par Hervé De Buyer en 2019 auprès du procureur de la République. Depuis, il est décédé, mais la société d’Hervé de De Buyer est toujours partie civile. Il avait alerté les autorités suite à des mouvements suspects.

2 commentaires

  • Avatar du commentaire numéro 48

    choukof

    Ils ont besoin du totem d’impunité plénière délivré uniquement au camp du bien…. Et ça passe vaseline.

  • Avatar du commentaire numéro 51

    Cosfox

    Je connais quelqu’un qui a eu affaire à eux et ce fut une triste expérience, ils n’ont pas pu saisir leur chance.

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