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vendredi 22 novembre

Suppression de 38 postes d’instituteurs dans les Vosges : « Notre département lâchement abandonné » pour Sébastien Humbert (RN)

2 commentaires

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Sébastien Humbert (photo FB)

« La carte scolaire pour la rentrée 2024 a été présentée au Conseil Départemental de l’Education Nationale (CDEN) le 22 février 2024 avec comme principale décision la suppression de 38 postes dans les Vosges.

Si le département des Vosges, avec 547 élèves en moins à la rentrée prochaine, accuse à nouveau une baisse d’effectifs de l’ordre de 2,3%, rien ne justifie de supprimer autant de postes.

 

Alors que les classes sont dédoublées dans les quartiers des grandes villes et métropoles françaises, nos territoires ruraux sont littéralement sacrifiés comme si les enfants Vosgiens comptaient moins que les publics difficiles de banlieues.

Cette politique qui, à terme, mène à des fermetures d’écoles est exactement l’inverse de ce qu’il faut faire pour rendre nos territoires attractifs. Un village sans école n’attire plus d’habitants et c’est alors l’ensemble de la démographie communal qui est impactée.

Aucune baisse démographique, à relativiser, ne peut justifier d’abandonner lâchement nos départements les plus ruraux.

En pleine crise du monde agricole et de la ruralité, le gouvernement Macron n’a décidément toujours pas entendu les revendications de ceux qui chaque jour paient le prix de cet abandon.

En dénonçant et s’opposant à ces suppressions de postes, le Rassemblement National, ardent défenseur des services publics et d’un rééquilibrage territorial, est le seul parti à lutter contre cet effacement rural organisé et assumé. »Sébastien HUMBERT

Délégué départemental du RN Vosges
Conseiller municipal de La Vôge-les-Bains
Conseiller régional du Grand Est

2 commentaires

  • Avatar du commentaire numéro 234

    Citoyen

    Jules Grevy souhaitant une école par village donc un instituteur par village!!

    • Avatar du commentaire numéro 239

      à force de forcer ça force forcément...

      Autre temps, autres nécessités.
      Sous Jules Grevy, il devait y  avoir en moyenne  20 gamins en âge d’être scolarisé en primaire par village de 100 habitants. 
      De nos jours cela doit être entre  2 et  5….  Et à l’époque point de ramassage scolaire.
      Le tout social n’ obligeait pas  non plus l’état à faire des arbitrages au dépend des services publics.

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