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mardi 02 juillet

Journée des droits des femmes : elles ont choisi la filière mécanique au CFA d’Épinal

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Célébrée ce vendredi 8 mars, la Journée Internationale des Droits des Femmes est aussi l’occasion de mettre à l’honneur des femmes exerçant des métiers dits d’homme. Parmi elles, Louane et Lorline qui sont en première année de CAP Mécanique automobile au CFA Pôle des métiers d’Epinal.

Si les métiers techniques ne sont pas réservés à la gent masculine, les hommes sont toujours majoritaires dans de nombreux domaines professionnels. En cette journée des droits des femmes, Epinal infos, a choisi de mettre les femmes à la une.

Louane Becker et Lorine Aiguier font partie des rares femmes à avoir eu envie de faire un métier d’homme. Elles sont en première année de CAP mécanique automobile au CFA Pôle des métiers d’Epinal. De plus en plus de femmes osent s’affranchir des préjugés, ou de leurs propres freins.

« C’est un métier très technique et c’est passionnant » expliquent les deux jeunes femmes. « Il est important de montrer que les femmes en sont tout à fait capables », poursuivent les étudiantes.

Si les femmes sont plus nombreuses à avoir une activité professionnelle qu’avant, certaines professions sont encore occupées à plus de 90% par des hommes. C’est le cas des métiers manuels très physiques.

« On voulait un métier technique avec des débouchés à la sortie. On aime beaucoup la complexité des moteurs. C’est à chaque fois différent » poursuivent Louane et Lorine. Elles n’ont pas peur de se salir et de mettre les mains dans l’huile.

Aujourd’hui, elles ne regrettent pas leur décision. « Les garçons font quelquefois des blagues, mais rien de méchant et quand on a un problème pour porter des lourdes charges, ils viennent nous aider. «  poursuit Louane.

Elles ont trouvé des employeurs qui ont accepté de leur faire confiance. « On a fait des stages avant la formation pour trouver plus facilement un employeur. » expliquent-elles. « ça nous plaît beaucoup, même si ce n’est pas toujours facile avec les clients qui ont encore des préjugés. Les clichés perdurent. » concluent les jeunes femmes.

 

Célébrée ce vendredi 8 mars, la Journée Internationale des Droits des Femmes est aussi l’occasion de mettre à l’honneur des femmes exerçant des métiers dits d’homme. Parmi elles, Louane et Lorline qui sont en première année de CAP Mécanique automobile au CFA Pôle des métiers d’Epinal.

Si les métiers techniques ne sont pas réservés à la gent masculine, les hommes sont toujours majoritaires dans de nombreux domaines professionnels. En cette journée des droits des femmes, Epinal infos, a choisi de mettre les femmes à la une.

Louane Becker et Lorine Aiguier font partie des rares femmes à avoir eu envie de faire un métier d’homme. Elles sont en première année de CAP mécanique automobile au CFA Pôle des métiers d’Epinal. De plus en plus de femmes osent s’affranchir des préjugés, ou de leurs propres freins.

« C’est un métier très technique et c’est passionnant » expliquent les deux jeunes femmes. « Il est important de montrer que les femmes en sont tout à fait capables », poursuivent les étudiantes.

Si les femmes sont plus nombreuses à avoir une activité professionnelle qu’avant, certaines professions sont encore occupées à plus de 90% par des hommes. C’est le cas des métiers manuels très physiques.

« On voulait un métier technique avec des débouchés à la sortie. On aime beaucoup la complexité des moteurs. C’est à chaque fois différent » poursuivent Louane et Lorine. Elles n’ont pas peur de se salir et de mettre les mains dans l’huile.

Aujourd’hui, elles ne regrettent pas leur décision. « Les garçons font quelquefois des blagues, mais rien de méchant et quand on a un problème pour porter des lourdes charges, ils viennent nous aider. «  poursuit Louane.

Elles ont trouvé des employeurs qui ont accepté de leur faire confiance. « On a fait des stages avant la formation pour trouver plus facilement un employeur. » expliquent-elles. « ça nous plaît beaucoup, même si ce n’est pas toujours facile avec les clients qui ont encore des préjugés. Les clichés perdurent. » concluent les jeunes femmes.

 

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