Sur la commune de Pierrepont sur l’Arentèle, une trentaine de précieux bénévoles (riverains, habitants et élèves du BTS GPN de Roville) se sont attelés aux côtés des services de la CCB2V pour permettre aux amphibiens de migrer de façon plus sécurisée pendant 2 mois. Les amphibiens passent l’hiver en milieu terrestre et la période de reproduction en milieu aquatique, il n’est donc pas rare qu’ils doivent traverser des routes pour rejoindre les mares ou étangs.
Grâce à la mise en place de 2 crapaudromes sur la commune, une belle mais fragile diversité a été mise en évidence. Parmi les 484 individus récupérés par les bénévoles, 5 espèces ont été recensées, le Crapaud commun, la Grenouille rousse, la Grenouille verte, le Triton palmé et le Triton alpestre. Malheureusement, malgré la présence du dispositif et de la signalisation, des individus ont été écrasés, ce qui met en évidence l’impact majeur des infrastructures routières sur la biodiversité.
Autre fait notable sur un des sites, la présence d’une maladie spécifique aux crapauds (non contagieuse aux autres espèces), peu connue aujourd’hui en France, a été relevée rendant les populations encore plus fragiles. La biodiversité de Pierrepont survit, comme partout, entre risque d’écrasement, maladie, réduction de l’habitat et changement climatique, il est donc essentiel de sensibiliser et de responsabiliser tout un chacun à la crise de la biodiversité dont l’homme fait partie. A Pierrepont, les amphibiens ont permis de fédérer habitants, étudiants, élus locaux et collectivités autour de la question de la préservation des amphibiens. Cette opération est donc un succès à réitérer !
Sur la commune de Pierrepont sur l’Arentèle, une trentaine de précieux bénévoles (riverains, habitants et élèves du BTS GPN de Roville) se sont attelés aux côtés des services de la CCB2V pour permettre aux amphibiens de migrer de façon plus sécurisée pendant 2 mois. Les amphibiens passent l’hiver en milieu terrestre et la période de reproduction en milieu aquatique, il n’est donc pas rare qu’ils doivent traverser des routes pour rejoindre les mares ou étangs.
Grâce à la mise en place de 2 crapaudromes sur la commune, une belle mais fragile diversité a été mise en évidence. Parmi les 484 individus récupérés par les bénévoles, 5 espèces ont été recensées, le Crapaud commun, la Grenouille rousse, la Grenouille verte, le Triton palmé et le Triton alpestre. Malheureusement, malgré la présence du dispositif et de la signalisation, des individus ont été écrasés, ce qui met en évidence l’impact majeur des infrastructures routières sur la biodiversité.
Autre fait notable sur un des sites, la présence d’une maladie spécifique aux crapauds (non contagieuse aux autres espèces), peu connue aujourd’hui en France, a été relevée rendant les populations encore plus fragiles. La biodiversité de Pierrepont survit, comme partout, entre risque d’écrasement, maladie, réduction de l’habitat et changement climatique, il est donc essentiel de sensibiliser et de responsabiliser tout un chacun à la crise de la biodiversité dont l’homme fait partie. A Pierrepont, les amphibiens ont permis de fédérer habitants, étudiants, élus locaux et collectivités autour de la question de la préservation des amphibiens. Cette opération est donc un succès à réitérer !
Autre fait notable sur un des sites, la présence d’une maladie spécifique aux crapauds (non contagieuse aux autres espèces), peu connue aujourd’hui en France, a été relevée rendant les populations encore plus fragiles. La biodiversité de Pierrepont survit, comme partout, entre risque d’écrasement, maladie, réduction de l’habitat et changement climatique, il est donc essentiel de sensibiliser et de responsabiliser tout un chacun à la crise de la biodiversité dont l’homme fait partie. A Pierrepont, les amphibiens ont permis de fédérer habitants, étudiants, élus locaux et collectivités autour de la question de la préservation des amphibiens. Cette opération est donc un succès à réitérer !
0 commentaire