Dans le cadre du programme régional LIFE Biodiv’Est, le Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges lance une enquête publique sur l’acceptabilité et l’efficacité des zones de quiétude instaurées dans le massif des Vosges. L’enquête a pour objectif de mieux comprendre l’impact de ces espaces protégés sur la faune sauvage.
Un appel à la participation du public
Le Parc Natural Régional des Vosges invite toutes les personnes concernées par la montagne et les activités de plein air à donner leur avis. L’enquête est ouverte jusqu’au 28 février 2025 et s’adresse tant aux acteurs socio-professionnels qu’aux amateurs de randonnée, vélo, ski ou toute autre activité de nature.
- Vous êtes un acteur socio-professionnel de la montagne ? Participez ici : Lien vers l’enquête
- Vous pratiquez des activités de plein air ? Donnez votre avis ici : Lien vers l’enquête
- Plus d’informations sur le projet : Lien d’information
Une démarche pour la préservation de la biodiversité
Les zones de quiétude ont été mises en place afin de réduire les dérangements causés par la présence humaine et ainsi garantir un habitat serein à la faune locale. Cette étude permettra d’évaluer leur impact réel sur les espèces animales tout en maintenant un accès raisonné aux espaces naturels pour les visiteurs.
1 commentaire
MOUROT BAUDIER Josée
Bonjour,
Il est temps d arrêter les mauvaises décisions !! Personnellement née à Ventron 88310, j ai arpenté durant ma jeunesse les sentiers de randonnées du Massif vosgien. A l époque mon père nous parlait du chant du coq de bruyère (gd tétras). Il nous disait à l époque ( année 1970) que l animal se faisait rare. A cette époque hormis les avions de chasse qui rasaient les crêtes , les usagers de la montagne ne dérangeaient strictement aucun animal.
Vous avez effectué une réintroduction, forcée, coûteuse et désastreuse qui a porté préjudice au grand tétras (mortalité). Laissez faire la nature…c est elle la maîtresse.
Par contre le survol des avions de chasse de la base de Luxeuil volent et voleront durant des années encore, dérangeant les animaux sauvages.
Bien cordialement,
Josée Mourot Baudier.