« Il n’y a pas de harcèlement moral et sexuel » chez Vosgelis. Telle est la conclusion des enquêtes menées par deux cabinets indépendants au sein de Vosgelis.
Suite aux plaintes de quatre salariées pour des faits de harcèlement moral et sexuel, le procureur de la République d’Épinal vient d‘ouvrir une enquête préliminaire, confiée au SRPJ de Nancy.
Deux enquêtes externes effectuées
Simon Leclerc, le président du bailleur social Vosgelis, a donné une conférence de presse pour dévoiler les résultats de deux enquêtes externes effectuées par deux cabinets indépendants au sein de l’entreprise Vosgelis en 2024. Les deux organismes externes concluent à l’absence de tout harcèlement moral et sexuel au sein de l’entreprise de 220 salariés.
Ces enquêtes ont suivi un droit d’alerte déclenché par le CSE en décembre 2023. La direction, a consulté l’ensemble de ses salariés.
« Il n’y a pas de harcèlement de la part du directeur chez Vosgelis »
« Il n’y a pas de harcèlement systémique chez Vosgelis. Il n’y a pas de faits de harcèlement selon ces deux enquêtes » explique Simon Leclerc. Les quatre plaignantes ont été contactées pour être entendues dans le cadre de ces enquêtes, mais elles ont refusé.
« Cela ne me fait pas plaisir d’avoir été accusé de complicité de harcèlement. L’ensemble de la procédure a été présentée en conseil d’administration. Le Conseil d’administration a décidé de maintenir sa confiance au directeur général et m’a également renouvelé sa confiance » poursuit-il.
Des plaintes contre X
Vosgelis a également déposé plusieurs plaintes contre X, dont l’une pour « faux en écriture publique ». Un faux document qui aurait été falsifié selon Simon Leclerc pour jeter le discrédit sur le bailleur social après de ses partenaires en Alsace. Le document fait état d’une condamnation du directeur général et a été envoyé aux partenaires de Vosgelis en Alsace.
- PBP-PHOTOGRAPHIE
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