Selon le témoignage de différents commerçants de Bruyères, des clientes ont acheté pour quelques centaines d’euros de marchandises (produits d’hygiène, soins pour le corps, etc) avec des chèques revenus depuis sans provision. Les faits se sont produits fin juillet.
Selon les commerçants bruyérois, le stratagème du chèque en bois est bien ficelé. Afin de noyer le poisson, dans un même commerce, ces achats de nature similaire ont été effectués successivement par deux femmes différentes, à des heures différentes. Les mauvaises payeuses ont également pris soin de se diriger à chaque fois vers des employés différents. Les commerçants ont en outre la mauvaise surprise de devoir régler des frais bancaires supplémentaires pour « rejet de chèque sans provision », c’est la double peine de l’escroquerie aux chèques en bois.
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