Les correspondants tchèques étaient déjà venus une semaine à Epinal en octobre 2015 et avaient été accueillis au sein des familles des élèves spinaliens. Entre excursion à Nancy, activités ludiques et sportives et cours au lycée Pierre Mendès-France, ce fut au tour des lycéens français d’entreprendre le périple inverse et se rendre en Europe de l’est pour parachever cet échange linguistique durant la semaine du 14 au 19 mars 2016.
Après plus de quinze heures de trajet en car, partis dans la nuit de dimanche à lundi 14 mars, les élèves d’Epinal ont été pris en charge par les familles tchèques de leurs correspondants : une immersion dans la vie d’une famille étrangère avec l’anglais comme outil linguistique indispensable.
Le professeur référant Patrick Koçi avait concocté un programme rythmé pour les élèves.
- Une visite au musée des sciences d’Ostrava ainsi que la visité guidée des hauts-fourneaux de cette même ville. Ayant revêtu un casque de protection, les élèves ont pu découvrir l’intérieur d’un lieu de production métallurgique tel que l’on peut trouver dans le haut pays lorrain.
- Un concours amical de création technique et scientifique d’un véhicule produit par les élèves avec 200 couronnes tchèques (environ 7,40 Euros) au maximum pour le coût des matériaux. Les élèves répartis en groupe devaient réaliser un prototype de voiture écologique avec des objets divers en réinvestissant leurs connaissances en sciences physiques, chimiques et technologiques acquises durant leur cursus scolaire.
- Une après-midi détente en compagnie des élèves au bowling situé à quelques kilomètres de Novy Jicin afin d’achever le séjour dans la bonne humeur.
La veille du retour dans les Vosges, les élèves français, après avoir fait leurs adieux à leur correspondant, ont pris la route de la capitale tchèque, Prague, où une visite de la ville au crépuscule et de nuit a été organisée afin d’apprécier le cadre de cette cité. Un hébergement au sein d’une auberge de jeunesse et ce fut le moment de reprendre la route dans l’autre sens et affronter les douze heures de trajet à travers l’Allemagne et retrouver la cité des images.
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