Pas de moment d’hésitation pour les convives invités au repas de la manifestation appelée « on tue le cochon « . Les épicuriens de l’ancienne école du Phény étaient au rendez-vous dimanche midi des cochonnailles et les convives et se sont jetés comme des morts de faim sur le menu en question avec, pour certains, les plus gaillards, un goût de reviens y …notamment au moment du boudin… Et on ne discute pas un bon morceau de boudin à la peau luisante, à peine graisseuse, surtout lorsqu’il est préparé avec tout le savoir-faire et l’amour de Marguerite passée maitresse dans l’art du saupoudrage des ingrédients : sans oublier Jacqueline doctoresse en mijotage des plats. On ne dira pas qu’il y a la « queue de cochon » des grands jours pour déguster le boudin du Phény et le fromage de tête, mais on peut le penser quand même, vu de l’extérieur…
La cuisine, un vrai endroit stratégiqueEt comme dirait un certain F. P psychologue scolaire de métier « on est mieux dedans que dehors« … Encore que cher F.P ! Malgré une petite bise, il faisait très bon sur les hauteurs locales ( on aurait pu manger dehors, dixit Jacques Chirac en campagne). C’est dire si les absents ont eu tort de ne pas se déplacer et de s’engouffrer dans l’ancienne salle de classe transformée, pour la circonstance, en restaurant avec au service et en cuisine les ouailles du président Marc Bernard. Une équipe de champions dont font partie Michel, Jojo, Annette, Marie Joseph, François, Guy, Marie France…et toutes les mamies du coteau gérômois. Sans oublier Gérard Villaumé derrière le piano principal, un vrai chef d’orchestre.
Et comme d’habitude, l’instant consommé sans modération fut convivial, à la limite gastronomique surtout pour les amateurs de tripes et de bonne table en tout genre. A l’heure de rejoindre ses pénates, une fois les assiettes léchées, saucées et rangées, le mot de conclusion revenait à un certain Momo, amateur de bonne chair, » tout est bon dans le cochon ». Et en matière de Cochon, Momo est un connaisseur !
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