Le scénariste Goscinny et le dessinateur Uderzo avaient imaginé Astérix au Jeux Olympiques et bien, maintenant, il faudra s’habituer à Claude Vanony aux jeux Olympia. Le jeu de mot héhéhé facile, mais notre Vano national vaut bien une gaudriole franco-gérômoise : déjà qu’on est maintenant marié aux voisins…Elles sont pas mal les Bressaudes en vrai ! si en vrai ! Ben si en vrai quoi !
Donc « the place to be » dimanche après-midi à 15 h c’était bien le théatre de l’Olympia à Paris: à la capitale en vosgien dans le texte. Claude Vanony montait pour la quatrième fois sur la scène du boulevard des Capucines avec son complice Dominique Walter. Mieux encore le public était bien là. Avant, pendant et après le spectacle, comme en amour. Et quand on sait que la vie d’un artiste, surtout lorsqu’il fête ses 60 années de « one man show », tient d’une véritable relation fusionnelle avec les fans, on comprend pourquoi il y avait de l’émotion au moment du lever de rideau…
Alors, forcément on en redemande et on donne rendez vous à Claude Vanony dans 5 ans pour un nouvel anniversaire et puis dans 10 ans pour ses 90 ans….en toute simplicité, Vinguette et re-tête de chien !
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