Le Festival International de géographie est terminé depuis dimanche et s’est offert une petite décentralisation du coté de la médiathèque dans la cadre des cafés littéraires.
La rencontre avec le public s’est faite avec Jean-Paul Didierlaurent, un Bressaud dont la plume est aujourd’hui suffisamment reconnue pour tenir en haleine les amateurs de voyage. A L’évocation du mot découverte,on pense à son premier roman « le Liseur du 6h27″ dont la trame se déroule comme son titre l’indique dans un train, plus exactement dans un RER parisien. Entre poésie et mélancolie, Jean -Paul Didierlaurent est monté dans un wagon afin de refaire son parcours d’écrivain, de nouvelliste et surtout répondu à la curiosité d’une bonne trentaine de personnes venue participer à l’échange. Un moment agréable, sans contour ni fioriture à l’image de l’ auteur heureux mais également surpris par le succès de son premier livre qui se prolonge depuis quelques jours avec la sortie d’un recueil de nouvelles intitulé « Macadam« . C’est aussi de cela dont il fut question. Onze histoires courtes qui rappelllent que Jean-Paul Didierlaurent avait été récompensé en son temps par le Prix Hemingway.
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