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samedi 21 septembre

Du beau monde et de l’humour pour donner le top départ du Festival International du Film fantastique

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La salle comble les attendait avec ferveur et les voici enfin arrivés en chair et en os sur la scène de l’espace Lac. Il s’agit comme chaque année du point culminant de la cérémonie d’ouverture du festival, l’arrivée du jury au grand complet et de son président. De Mathilde Seigner à Jonathan Lambert en passant par Gilles Marchand, personne ne manquait à l’appel pour cette première soirée.

Le président du jury longs métrages Calude Lelouch

Le président du jury longs métrages Calude Lelouch

Après une entrée en matière non pas dénuée d’humour, avec les discours des élus et des organisateurs, ces célèbres personnalités du cinéma et du fantastique faisaient enfin leur apparition sous les acclamations du public. L’occasion pour le président du jury de cette année, et pas des moindres, le réalisateur Claude Lelouch, de prononcer le traditionnel discours qui marque officiellement le début de cette semaine exceptionnelle. Il fut question pour le réalisateur de souhaiter à tous les festivaliers et à Gérardmer dans son ensemble « un bon festival », avec une sélection qui, il l’espère, sera de qualité. Et d’ajouter avec l’humour qui le caractérise que s’il ne faut pas que ça soit « mauvais », encore faut-il se méfier lorsque tout est trop bon car c’est le plus souvent le « début des emm****** ». Une réflexion éclairée qui n’a pas manqué de faire rire l’assemblée déjà conquise. Un discours conclu par les remerciements de ce grand monsieur du cinéma, touché d’ « avoir été choisi pour passer ce bon moment. »

Bernard Rose, réalisateur de "Frankenstein" , film américain en compétition

Bernard Rose, réalisateur de « Frankenstein » , film américain en compétition

Et comme un réalisateur en cache souvent un autre, une fois le jury éclipsé, c’était au tour de Bernard Rose, le réalisateur du film d’ouverture de cette année « Frankenstein », d’investir la scène. Le temps d’une courte intervention, le réalisateur américain a présenté dans un français quelque peu approximatif, puis dans un anglais qu’il maitrise assurément mieux, son film sur ce personnage célèbre de l’univers fantastique.

Un film qu’il a voulu différent des autres, où cette fois-ci la vision d’un monstre innocent et perdu face à un monde hostile, est mise en scène. Et c’est encore avec l’humour présent tout au long de cette cérémonie, que Bernard Rose a tenu à conclure son explication. Ce dernier résumant son film comme « violent, avec plein de sang et beaucoup de morceaux de cervelle », sous les cris (de joie !) du public qui n’attendait plus qu’une seule chose : débuter ces 5 jours fantastiques.

A.M.

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