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vendredi 20 septembre

Nouveau mammographe : une pierre à l’édifice d’un hôpital indispensable

Une technologie moins irradiante et des délais d'attente réduits sur le bassin de Gérardmer

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Mercredi après-midi, le centre hospitalier (CH) de Gérardmer avait le plaisir de célébrer officiellement la mise en service du nouveau mammographe acquis grâce au soutien de l’AGSH et de la Ligue contre le Cancer.

Il s’agissait là de la mise en œuvre d’un équipement qui vient renouveler et surtout moderniser son prédécesseur en matière de technologie et de performance. Ce nouveau mammographe utilise en effet une technologie moins irradiante et des fonctionnalités premium qui permettent d’écourter la durée de l’examen. En outre, il va également permettre de réduire le temps d’attente pour une mammographie sur le bassin de Gérardmer dans un hôpital qui en réalise pas moins de 1 200 par an (sur seulement 3 journées et demi par semaine), soit l’un des tout premiers du département en la matière, comme le précisait le directeur du CH Pierre Tsuji.

On peut donc parler de véritable avancée en matière d’offre de soin et de dépistage dans le secteur de la perle des Vosges à travers cet investissement rendu possible grâce au financement de l’Association Gérômoise des Sports d’Hiver (AGSH) et de la Ligue contre le Cancer. Deux structures qui ont, à travers leur soutien, porté l’action du CH et son projet en matière d’imagerie sur le bassin de vie, tout en affirmant le lien unique et fort qui lie l’hôpital, le tissu associatif local et les habitants de Gérardmer. Signalons également l’implication, le rôle important de l’équipe paramédicale qui a permis cette implantation en matière de dépistage du cancer du sein.

Le président de l’AGSH Pierre Sachot a pour sa part précisé que « ce n’est que du bonheur de pouvoir apporter sa pierre à l’édifice d’un hôpital indispensable à Gérardmer et son bassin, que ce soit pour les locaux ou les visiteurs. » Quant à la Ligue Contre le Cancer, elle est forcément ravie de voir que le travail de ses nombreux bénévoles sur le département paye à nouveau, eux qui donnent sans compter pour organiser des marches roses notamment, et d’autres opérations destinées à récolter les fonds qui complètent ceux des généreux donateurs. Des fonds qui permettent bien souvent d’amorcer des investissements lourds comme celui d’un mammographe dont le coût s’élève tout de même à 130 000 €.

Lire notre précédent article (ICI)

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