Il faut parfois reconnaitre les soi-disant mauvais exemples pour en faire de bons. C’est le cas pour cette partie de l’histoire que la France a glissé rapidement sous le tapis sans aucun doute par honte, celle des fusillés pour l’exemple condamnés pour la plupart pour abandon de poste, désertion, capitulation, refus d’obéissance pendant le conflit de 14-18.
Cela s’est traduit par des exécutions sommaires, avec pour but la nécessité de trouver des coupables pour provoquer un sursaut parmi les autres. Les soldats français fusillés furent entre 610 et 630.
Gérardmer ne déroge pas à la règle et la ville se souvient par le biais d’une exposition, mise sur pied par la section locale de la Ligue des Droits de l’Homme, dont l’inauguration s’est déroulée vendredi sous la présidence de Laurence Goujard. Une mise à la connaissance de tous à ne pas manquer avec pour point d’orgue la conférence/débat, le mardi 12 novembre menée par Eric Mansuy au 3ème étage de la médiathèque
Exposition les fantômes de la république :
Du 8 au 15 novembre inclus à l’Espace Tilleul.
de 10h à 12h et de 14h à 18h. Dimanche 10 et lundi 11 novembre de 10h à13h
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