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samedi 23 novembre

Le Centre Hospitalier de Saint-Dié-des-Vosges et l’hydroxychloroquine

Communiqué du C H

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Les termes du communiqué du CH de St-Dié à propos de l’utilisation de la chloroquine au sein même de établissement de soins sont clairs et reprennent les préconisations de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament. Le débat ne fait que commencer sur fond de luttes intestines entre les anti(s) et pro(s) chloroquine. La communauté médicale est visiblement très divisée sur le sujet, les échanges sont souvent vigoureux par médias interposés et malheureusement nous ignorons pour une grande partie le problème de fond, les tenants et les aboutissants.

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Le Centre Hospitalier de Saint-Dié-des-Vosges tient à s’exprimer suite aux déclarations d’un praticien hospitalier exerçant au sein de l’établissement et portant sur les médicaments qu’il prescrit dans le traitement de la maladie COVID-19.

Se référant aux recommandations nationales*, un consensus de l’ensemble de la communauté médicale Déodatienne a abouti sur les modalités de prescription de l’hydroxychloroquine. Ce positionnement n’est pas partagé par le Praticien Hospitalier, non infectiologue. (NDLR : ce médecin a décidé de prescrire à des patients atteints du COVID-19 de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine, le traitement préconisé par le Professeur Didier Raoult)
*Selon l’agence Nationale de sécurité du médicament :
A ce jour, aucun médicament y compris l’hydroxychloroquine n’a apporté la preuve de son efficacité selon des standards d’évaluation dans le traitement ou la prévention de cette maladie. C’est pourquoi des essais cliniques sont en cours ou prévus (incluant l’hydroxychloroquine), en France et au niveau international, et qui devront permettre de valider les options thérapeutiques en termes de rapport bénéfice/risque.
Cependant, conformément à l’avis du Haut conseil de santé publique du 24/03/2020 (HCSP) et au décret du 25 mars 2020 (pris en application de « la loi d’urgence pour faire face à l’épidémie du COVID-19 » ), le recours à ce médicament peut s’envisager à titre exceptionnel et uniquement dans le cadre d’une prescription et d’une dispensation aux patients hospitalisés.

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