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vendredi 20 septembre

Doudou Simon l’autre « Grande Gueule »

Le film culte des gérômois a 55 ans

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fd55 ans déjà. Le film « Les Grandes Gueules » a plus d’un demi siècle d’existence et certains se souviennent de son tournage. C’est le cas de Doudou Simon, encore adolescent à l’époque, qui traversait la jeune forêt de Cellet au guidon de son vélo pour rejoindre le principal lieu de filmage du long métrage de Robert Enrico extrait du livre de José Giovanni « Le Haut Fer ». Si Andy White est le 5ème Beatles, Doudou est l’autre « Grande Gueule » à l’ instar de Lino Ventura, Jean Claude Rolland, Bourvil ou encore Michel Constantin….sans oublier Jean Pascal Voirin, véritable gardien du temple dont le court métrage est entré dans les annales de la production.

La distribution fantastique a fait du film, lors de sa sortie, un événement qualifié par les critiques de « 1er western à Française« . Alors Doudou se souvient avec nostalgie de ce mois de juin 1965 où il n’a pas cessé de pleuvoir pendant les 8 semaines de tournage.

« Je ressens toujours autant d’émotion lorsque j’en parle  » commente le gérômois  » je suis un peu passé du rêve à la réalité 35 ans plus tard en collaborant modestement au court métrage consacré au film que l’on doit à Philippe Crave et Roger Viry-Babel (Doudou a dévoilé ses archives personnelles). J’ai pu rencontrer les acteurs simples et remarquables qui se sont déplacés jusqu’à Gérardmer et le Haut du Tôt « .

Marie Dubois était présente, Michel Constantin, Paul Crochet aussi. Les survivants des Grandes Gueules ont été reçus en mairie par le 1er magistrat de l’époque Jean-Paul Lambert.

Quant à José Giovanni, il est revenu également sur les terres du tournage mais deux ans plus tard se remémorant  sa rencontre avec Jean Grossier lors des repérages évoquant également ses amitiés liées au fil du temps avec les vosgiens.

Le temps passe inexorablement mais le souvenir reste dans la mémoire « presque » collective. Celle de Doudou n’est pas défaillante et ses dernières images sont sans aucun doute celles d’une jeunesse déjà lointaine dont la bande sonore avait été écrite par le compositeur François de Roubaix.

 

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