Vue depuis le versant opposé
C’est vrai que le fumé vosgien, celui qui se déguste, est plutôt renommé à Gérardmer, ce n’est pas Jean-Pierre Coffe qui aurait dit le contraire. Pour celui qui se respire, ou plutôt celle, on a aussi trouvé de la qualité avec un épais nuage qui provient du secteur de la Rayée et se diffuse sur une partie de la ville… Un paysan local qui brûle ses déchets verts nous dit-on, en toute légalité du point de vue de la loi ou non (selon nos informations il ne disposait jusqu’à présent que d’un accord oral de principe de la PM…), et sous surveillance de nos amis sapeurs pompiers à qui l’on peut faire confiance en matière de sécurité. Mais n’y avait-il pas moyen de faire mieux ? Ou tout du moins de faire un peu plus raisonnablement d’un point de vue environnemental ?.. Car selon certaines études (qu’on peut toujours discuter après tout…) « brûler 50 kg de végétaux à l’air libre émet autant de particules fines que 13 000 km parcourus par une voiture diesel récente. » (source : cliquez ici !) Alors s’il y a une alternative, ou même plusieurs, pourquoi se priver de les appliquer, même si c’est peut-être un peu plus laborieux ? La question a le mérite d’être posée…
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