Les finalistes.
Afin de d’améliorer encore un peu plus la préparation de ses ouailles aux oraux, le lycée de la haie Griselle organise désormais un concours d’éloquence en interne réservé aux classes de premières et coordonné par Michel Joly, professeur de lettre, et Sarah Suchetet, CPE.
La deuxième édition de ce concours baptisé pour des raisons évidentes « Plaidoria » s’est donc conclue au réfectoire de la cité scolaire mardi après-midi en présence de l’ensemble des participants venus encourager les deux binômes finalistes. On notera que le matin, le thème retenu pour les joutes verbales de qualification était l’intergénérationnel. Pour les quarts de finale les élèves ont débattu sur la question des innovations technologiques, puis sur la richesse du voyage en demi-finale. Et pour l’ultime joute verbale du concours, Edene Martin et Mel Champlon ont affronté Léon Chéry et Victor Pierrel sur la question suivante : « Pourquoi est-il important d’avoir une culture générale dans notre société contemporaine ? »
Beau duel entre les filles d’un côté et les garçons de l’autre, le tout devant une foule en délire et un jury composé majoritairement d’enseignants et d’élèves, car rien ne vaut la reconnaissance de ses pairs… Comme pour les phase précédentes, l’intervention des binômes ne devait pas excéder 5 minutes et ne pas descendre sous la barre des 2 minutes, sous peine de récolter une pénalité. Cette finale aura été relativement serrée, mais ce sont bien les garçons qui l’ont emporté, faisant preuve d’un peu plus d’assurance dans leur prise de parole notamment, et se montrant globalement un peu plus convaincants que leurs adversaires du jour. Les lauréats remportent chacun un chèque de 50 € et les finalistes un chèque de 30 € en guise de récompense pour leur prestation et leur investissement. Investissement qui est remarquable sur l’ensemble de cet événement auquel l’ensemble des élèves de première ont participé. En avril, ce sera à leurs ainés d’entrer en piste avec une première édition réservée cette fois aux élèves de terminales, avec « d’avantage d’impro et de spontanéité » nous promet Michel Joly !
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