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vendredi 20 septembre

« Un Bulot dans la Choucroute »

Un roman noir signé Jean-Lou George. Collection Polar à Croquer

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bulot1Les auteurs se multiplient sur le territoire gérômois : sans doute l’effet Covid 19 qui a libéré le vagabondage des esprits. Le jeune retraité Jean-Lou George publie, à compte d’auteur, son second roman « Un bulot dans la choucroute »‘ en vente actuellement à La Libraire de l’Hôtel de Ville » et  » Chez la Libraire »

Passionné de polard depuis toujours, le gérômois est devenu avec le temps maître du genre.

« C’est la période très spéciale du premier confinement qui m’a donné l’envie de réaliser le rêve d’écrire un bouquin  » confie Jean-Lou George » En courant et marchant, j’avais depuis longtemps réfléchi au scénario d’un polar avec comme décor les roches situées autour de Gérardmer, tel un véritable jeu de piste macabre. Ainsi est né mon premier livre DECEM DIGITOS. Mes Amis avaient tous un rôle essentiel dans ce livre, il n’a pas été distribué en librairie, sa diffusion est restée très confidentielle et feutrée. Mais la collection venait de naître et fut baptisée  »Polars à Croquer ». 

Le néo romancier ne s’est pas arrêté pour autant à ce premier essai : pour preuve.

Mon deuxième livre, au titre évocateur : « Un Bulot Dans la Choucroute » est un mélange des bons vieux San Antonio ou de Pieds Nickelés  » poursuit JLG . « J’ai pris encore plus de plaisir à l’écrire. Je termine actuellement l’écriture du troisième intitulé : « Subir un Dégât des Os ». Un roman policier qui se situe dans le milieu du sport de très haut niveau, sur le thème de la vengeance. 

 C’est en courant régulièrement, en se préparant physiquement à la participation de  différents trails que Jean-Lou trouve l’inspiration « Quand je passe par La Roche des Corbeaux, celle Des Bruyères et La Roche des Vieux Chevaux ou encore d’autres points culminants dans le brouillard, les branches qui craquent rendent l’atmosphère particulière. C’est pour moi très inspirant. J’adore ! 

Et le gérômois de conclure « Écrire c’est peindre les mots disait un poète, attention toutefois que le lecteur ne voit pas trop de gribouillages dans le texte ». 

Y a du Frédéric Dard chez  ce gars là !

 

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