Cette assemblée générale, qui n’était pas élective, s’est déroulée en présence du conseiller départemental Thomas Gion et de l’adjointe aux Ssports Karine Bédez.
Soucieuse de préserver le club qu’elle a vu naître, Rachel Masson ne quittera pas la présidence de l’ASG Handball au 31 juillet 2023 comme elle l’avait annoncé. La situation est compliquée mais pas désespérée, et avec le soutien des bénévoles et la possibilité de fonctionner avec des ententes pour maintenir des équipes en championnat, l’emblématique présidente espère bien traverser la tempête.
En effet, comme elle l’a précisé en préambule de l’assemblée générale en date du 3 juillet, malgré une belle année d’un point de vue sportif, « le club n’aura jamais vraiment remonté la pente d’après COVID et il faut désormais du sang neuf. J’avais déjà prévu de partir et je l’avais annoncé, espérant que quelqu’un se manifesterait avant l’AG pour me remplacer. Mais aujourd’hui je n’ai encore personne qui s’est présenté pour prendre la présidence » déclarait Rachel Masson qui est relativement lucide sur la situation de l’ASG Handball, club qui comptait 71 licenciés avec 5 équipes engagées en championnat lors de la saison dernière. Mais cela ne suffit pas : « Nous allons devoir faire face au départ d’un entraîneur et je n’entraînerai plus moi-même. De plus, les exigences de la Fédération et du Comité Départemental sont de plus en plus rudes et difficiles à satisfaire. ( …) Ça fait un an que je tire la sonnette d’alarme. Comme beaucoup de clubs et d’associations, nous manquons de bénévoles, c’est difficile. Nous souffrons de la ruralité car il n’y a pas de FAC ni d’école supérieure pour apporter des jeunes ou les faire rester, et nous devons faire face à la baisse de natalité… Mais peut-être aussi que le bénévole attend quelque chose qu’on n’a pas su lui apporter » regrette Rachel Masson.
L’an prochain, le club va donc s’appuyer sur des ententes avec Le Tholy pour pouvoir maintenir des équipes en championnat. La présidente a donc tenu à remercier celles et ceux qui ont continué à s’engager et à être présents dans ce contexte, qu’il s’agisse des membres du bureau, du staff ou bien entendu des parents dont l’aide et précieuse. Le tout sans oublier les équipes qui ont su porter fièrement les couleurs du club tout au long de la saison. Club labellisé « École de hand » par la Fédération, preuve que l’ASG reste un bon club formateur et qu’il y a tout de même du positif à retenir de cette saison passée. « Nous avons également des finances saines et je tiens à remercier ma trésorière Sylvie Zambon qui va poursuivre l’aventure avec moi, tout comme Franck Colin au poste d’entraîneur » a ajouté Rachel Masson.
Cette assemblée générale, qui n’était pas élective, s’est déroulée en présence du conseiller départemental Thomas Gion et de l’adjointe aux Ssports Karine Bédez.
Soucieuse de préserver le club qu’elle a vu naître, Rachel Masson ne quittera pas la présidence de l’ASG Handball au 31 juillet 2023 comme elle l’avait annoncé. La situation est compliquée mais pas désespérée, et avec le soutien des bénévoles et la possibilité de fonctionner avec des ententes pour maintenir des équipes en championnat, l’emblématique présidente espère bien traverser la tempête.
En effet, comme elle l’a précisé en préambule de l’assemblée générale en date du 3 juillet, malgré une belle année d’un point de vue sportif, « le club n’aura jamais vraiment remonté la pente d’après COVID et il faut désormais du sang neuf. J’avais déjà prévu de partir et je l’avais annoncé, espérant que quelqu’un se manifesterait avant l’AG pour me remplacer. Mais aujourd’hui je n’ai encore personne qui s’est présenté pour prendre la présidence » déclarait Rachel Masson qui est relativement lucide sur la situation de l’ASG Handball, club qui comptait 71 licenciés avec 5 équipes engagées en championnat lors de la saison dernière. Mais cela ne suffit pas : « Nous allons devoir faire face au départ d’un entraîneur et je n’entraînerai plus moi-même. De plus, les exigences de la Fédération et du Comité Départemental sont de plus en plus rudes et difficiles à satisfaire. ( …) Ça fait un an que je tire la sonnette d’alarme. Comme beaucoup de clubs et d’associations, nous manquons de bénévoles, c’est difficile. Nous souffrons de la ruralité car il n’y a pas de FAC ni d’école supérieure pour apporter des jeunes ou les faire rester, et nous devons faire face à la baisse de natalité… Mais peut-être aussi que le bénévole attend quelque chose qu’on n’a pas su lui apporter » regrette Rachel Masson.
L’an prochain, le club va donc s’appuyer sur des ententes avec Le Tholy pour pouvoir maintenir des équipes en championnat. La présidente a donc tenu à remercier celles et ceux qui ont continué à s’engager et à être présents dans ce contexte, qu’il s’agisse des membres du bureau, du staff ou bien entendu des parents dont l’aide et précieuse. Le tout sans oublier les équipes qui ont su porter fièrement les couleurs du club tout au long de la saison. Club labellisé « École de hand » par la Fédération, preuve que l’ASG reste un bon club formateur et qu’il y a tout de même du positif à retenir de cette saison passée. « Nous avons également des finances saines et je tiens à remercier ma trésorière Sylvie Zambon qui va poursuivre l’aventure avec moi, tout comme Franck Colin au poste d’entraîneur » a ajouté Rachel Masson.
En effet, comme elle l’a précisé en préambule de l’assemblée générale en date du 3 juillet, malgré une belle année d’un point de vue sportif, « le club n’aura jamais vraiment remonté la pente d’après COVID et il faut désormais du sang neuf. J’avais déjà prévu de partir et je l’avais annoncé, espérant que quelqu’un se manifesterait avant l’AG pour me remplacer. Mais aujourd’hui je n’ai encore personne qui s’est présenté pour prendre la présidence » déclarait Rachel Masson qui est relativement lucide sur la situation de l’ASG Handball, club qui comptait 71 licenciés avec 5 équipes engagées en championnat lors de la saison dernière. Mais cela ne suffit pas : « Nous allons devoir faire face au départ d’un entraîneur et je n’entraînerai plus moi-même. De plus, les exigences de la Fédération et du Comité Départemental sont de plus en plus rudes et difficiles à satisfaire. ( …) Ça fait un an que je tire la sonnette d’alarme. Comme beaucoup de clubs et d’associations, nous manquons de bénévoles, c’est difficile. Nous souffrons de la ruralité car il n’y a pas de FAC ni d’école supérieure pour apporter des jeunes ou les faire rester, et nous devons faire face à la baisse de natalité… Mais peut-être aussi que le bénévole attend quelque chose qu’on n’a pas su lui apporter » regrette Rachel Masson.
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