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dimanche 07 juillet

Gilles Valence nous a quittés

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Dernier d’une fratrie de 4 enfants, fils de Lucien Valence et de Thérèse Houillon, Gilles Valence est né à La Salle en 1947. Il a grandi dans la boucherie familiale avec Roland et Jean-Pierre et a été principalement élevé par sa grande sœur Nicole qu’il chérissait tellement mais qu’il a eu le malheur de perdre prématurément en 78. Assez vite, il quitte le nid familial pour travailler dans l’hôtellerie, mais rapidement le devoir l’appelle en 1965 pour vivre sans doute une des grandes aventures de sa vie : son service militaire à Djibouti, dans les chasseurs alpins. Ceux qu’il l’ont bien connu d’ailleurs ont sans doute eu la chance d’avoir le récit d’une ou deux de ses anecdotes croustillantes qu’il avait tant plaisir à raconter.

Gilles VALENCEDe retour, il poursuit ses expériences dans l’hôtellerie, notamment aux Deux-Alpes et au Grand Hôtel de Vittel. Son chemin le mène naturellement à Gérardmer où il devient serveur au Darou, lieu prisé de la jeunesse gérômoise. Il fera la rencontre en 1972 de Martine Heim qu’il épousera en 1974. Une union indéfectible qui aura duré 49 ans, donnant naissance à quatre enfants : Julie, Julien, Justine et Charles-Édouard. Mettant un point d’honneur à être présent pour les leurs et tout en prenant soin de l’éducation de leur famille, Gilles et Martine ouvrent leur salon de coiffure rue Charles De Gaulle en 1975. Gilles s’est donc converti pour accompagner ce projet en se formant au métier de la coiffure tout en participant pleinement à la vie de ses « gamins » à travers le tennis, le judo, le théâtre etc. Sa place au salon était avant tout celle du boute-en-train, toujours une blague à raconter, une recette à partager, un beignet à faire déguster. Gilles est rapidement devenu le Gilou de ces dames.

Dans sa vie privée, on aimait le surnommer, « le Gilles est de sauvetage » : tantôt bricoleur, tantôt cuisinier, tantôt couturier, il avait plus d’une corde à son arc. Grand manuel, c’était aussi un homme avide de savoir, très cultivé. Il aimait apprendre au quotidien, nourrir sa curiosité, il avait surtout plaisir à transmettre, à partager à ses enfants et surtout ses petits-enfants. Il appréciait la joie de montrer à Juline, Rosalie, Gaston, Lilou, Elia le vol d’un martinet, un ciel de Perséides, voir mûrir ses goumis, chasser les criquets, aller aux champignons. Gilles était aussi plein d’altruisme, une oreille attentive pour son entourage, dévoué, à l’écoute, son silence était plein de bienveillance. Bon vivant, il aimait rassembler les gens qu’il aimait autour d’une de ses célèbres recettes, qu’il s’agisse d’un couscous, une choucroute ou un baeckeoffe. En partant, Gilles, Gilou Papilou, pap’m, pépé laisse un grand vide dans le cœur de son épouse Martine, de toute sa famille et de ses amis. Alors pour un dernier signe digne de lui, Gilou vous met au défi  ; Mot en huit lettres : « se dit pour saluer une de ses connaissances, de façon amicale » … AU REVOIR !
Un hommage lui sera rendu le jeudi 20 juillet 2023 à 10h au funérarium communal de Gérardmer.
Nos sincères condoléances à la famille.

Dernier d’une fratrie de 4 enfants, fils de Lucien Valence et de Thérèse Houillon, Gilles Valence est né à La Salle en 1947. Il a grandi dans la boucherie familiale avec Roland et Jean-Pierre et a été principalement élevé par sa grande sœur Nicole qu’il chérissait tellement mais qu’il a eu le malheur de perdre prématurément en 78. Assez vite, il quitte le nid familial pour travailler dans l’hôtellerie, mais rapidement le devoir l’appelle en 1965 pour vivre sans doute une des grandes aventures de sa vie : son service militaire à Djibouti, dans les chasseurs alpins. Ceux qu’il l’ont bien connu d’ailleurs ont sans doute eu la chance d’avoir le récit d’une ou deux de ses anecdotes croustillantes qu’il avait tant plaisir à raconter.

Gilles VALENCEDe retour, il poursuit ses expériences dans l’hôtellerie, notamment aux Deux-Alpes et au Grand Hôtel de Vittel. Son chemin le mène naturellement à Gérardmer où il devient serveur au Darou, lieu prisé de la jeunesse gérômoise. Il fera la rencontre en 1972 de Martine Heim qu’il épousera en 1974. Une union indéfectible qui aura duré 49 ans, donnant naissance à quatre enfants : Julie, Julien, Justine et Charles-Édouard. Mettant un point d’honneur à être présent pour les leurs et tout en prenant soin de l’éducation de leur famille, Gilles et Martine ouvrent leur salon de coiffure rue Charles De Gaulle en 1975. Gilles s’est donc converti pour accompagner ce projet en se formant au métier de la coiffure tout en participant pleinement à la vie de ses « gamins » à travers le tennis, le judo, le théâtre etc. Sa place au salon était avant tout celle du boute-en-train, toujours une blague à raconter, une recette à partager, un beignet à faire déguster. Gilles est rapidement devenu le Gilou de ces dames.

Dans sa vie privée, on aimait le surnommer, « le Gilles est de sauvetage » : tantôt bricoleur, tantôt cuisinier, tantôt couturier, il avait plus d’une corde à son arc. Grand manuel, c’était aussi un homme avide de savoir, très cultivé. Il aimait apprendre au quotidien, nourrir sa curiosité, il avait surtout plaisir à transmettre, à partager à ses enfants et surtout ses petits-enfants. Il appréciait la joie de montrer à Juline, Rosalie, Gaston, Lilou, Elia le vol d’un martinet, un ciel de Perséides, voir mûrir ses goumis, chasser les criquets, aller aux champignons. Gilles était aussi plein d’altruisme, une oreille attentive pour son entourage, dévoué, à l’écoute, son silence était plein de bienveillance. Bon vivant, il aimait rassembler les gens qu’il aimait autour d’une de ses célèbres recettes, qu’il s’agisse d’un couscous, une choucroute ou un baeckeoffe. En partant, Gilles, Gilou Papilou, pap’m, pépé laisse un grand vide dans le cœur de son épouse Martine, de toute sa famille et de ses amis. Alors pour un dernier signe digne de lui, Gilou vous met au défi  ; Mot en huit lettres : « se dit pour saluer une de ses connaissances, de façon amicale » … AU REVOIR !
Un hommage lui sera rendu le jeudi 20 juillet 2023 à 10h au funérarium communal de Gérardmer.
Nos sincères condoléances à la famille.

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