Lundi matin, au monument aux morts, la ville de Gérardmer rendait hommage à ses Harkis tombés pour la France lors de la journée nationale.
En présence des portes drapeaux patriotiques, des sapeurs-pompiers, de la gendarmerie de Gérardmer, des conseillers municipaux et départementaux et bien sûr des derniers harkis et leurs descendants, Jamel Ghomérani représentant à la fois la mairie et les siens a lu la lettre de la secrétaire d’Etat auprès du ministre des armées Patricia Miralles avec beaucoup d’émotion.
Cette lettre raconte l’histoire d’un abandon : « Les Harkis ont besoin qu’on se souvienne de leur souffrance » puis de la reconnaissance enfin et de leur place dans l’histoire. Elle évoque « une double dette : reconnaissance et réparation ». Après la demande de pardon « il s’agit aujourd’hui de consolider les liens entre la France et ses enfants. »
L’adjointe au maire Nadine Bassière a ensuite déposé une gerbe de fleurs en hommage aux Harkis gérômois et chacun a pu se recueillir au son de la Marseillaise.
Lundi matin, au monument aux morts, la ville de Gérardmer rendait hommage à ses Harkis tombés pour la France lors de la journée nationale.
En présence des portes drapeaux patriotiques, des sapeurs-pompiers, de la gendarmerie de Gérardmer, des conseillers municipaux et départementaux et bien sûr des derniers harkis et leurs descendants, Jamel Ghomérani représentant à la fois la mairie et les siens a lu la lettre de la secrétaire d’Etat auprès du ministre des armées Patricia Miralles avec beaucoup d’émotion.
Cette lettre raconte l’histoire d’un abandon : « Les Harkis ont besoin qu’on se souvienne de leur souffrance » puis de la reconnaissance enfin et de leur place dans l’histoire. Elle évoque « une double dette : reconnaissance et réparation ». Après la demande de pardon « il s’agit aujourd’hui de consolider les liens entre la France et ses enfants. »
L’adjointe au maire Nadine Bassière a ensuite déposé une gerbe de fleurs en hommage aux Harkis gérômois et chacun a pu se recueillir au son de la Marseillaise.
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