Les parents d’élèves de l’école des 2 lacs de Xonrupt-Longemer ont appelé à mobilisation samedi après-midi pour manifester contre la fermeture d’une classe de primaire.
Une centaine de personnes a répondu à l’appel. Des parents des classes de primaire mais également de maternelle, d’anciens parents, les enfants, les enseignants de l’école et d’autres écoles, les DDEN (délégués départementaux de l’éducation nationale), tous se sont montrés solidaires. Rassemblés sur la place du 22 octobre ils ont reçu T-Shirt, pancartes et autres banderoles et ont scandé à l’unisson « Non à la fermeture d’une classe ».
Les élus sont également venus soutenir le mouvement : le député, les conseillers départementaux, le 1er adjoint de la mairie de Xonrupt ainsi que le maire du Valtin. L’organisatrice du mouvement des parents d’élèves Fanny a invité les manifestants à se rendre à pied au Saut des Cuves en leur rappelant les consignes de sécurité et de respect. Ils allaient s’installer au carrefour et distribuer tracts et pétition aux automobilistes et même quelques bonbons. Elle en profita pour remercier les commerçants locaux pour leurs dons.
Le mouvement des parents d’élèves a adressé un courrier à la directrice de l’académie des services de l’éducation nationale et donne rendez-vous pour poursuivre leur action le 22 février prochain à Epinal devant la préfecture.
Les parents d’élèves de l’école des 2 lacs de Xonrupt-Longemer ont appelé à mobilisation samedi après-midi pour manifester contre la fermeture d’une classe de primaire.
Une centaine de personnes a répondu à l’appel. Des parents des classes de primaire mais également de maternelle, d’anciens parents, les enfants, les enseignants de l’école et d’autres écoles, les DDEN (délégués départementaux de l’éducation nationale), tous se sont montrés solidaires. Rassemblés sur la place du 22 octobre ils ont reçu T-Shirt, pancartes et autres banderoles et ont scandé à l’unisson « Non à la fermeture d’une classe ».
Les élus sont également venus soutenir le mouvement : le député, les conseillers départementaux, le 1er adjoint de la mairie de Xonrupt ainsi que le maire du Valtin. L’organisatrice du mouvement des parents d’élèves Fanny a invité les manifestants à se rendre à pied au Saut des Cuves en leur rappelant les consignes de sécurité et de respect. Ils allaient s’installer au carrefour et distribuer tracts et pétition aux automobilistes et même quelques bonbons. Elle en profita pour remercier les commerçants locaux pour leurs dons.
Le mouvement des parents d’élèves a adressé un courrier à la directrice de l’académie des services de l’éducation nationale et donne rendez-vous pour poursuivre leur action le 22 février prochain à Epinal devant la préfecture.
Les parents d’élèves de l’école des 2 lacs de Xonrupt-Longemer ont appelé à mobilisation samedi après-midi pour manifester contre la fermeture d’une classe de primaire.
Les élus sont également venus soutenir le mouvement : le député, les conseillers départementaux, le 1er adjoint de la mairie de Xonrupt ainsi que le maire du Valtin. L’organisatrice du mouvement des parents d’élèves Fanny a invité les manifestants à se rendre à pied au Saut des Cuves en leur rappelant les consignes de sécurité et de respect. Ils allaient s’installer au carrefour et distribuer tracts et pétition aux automobilistes et même quelques bonbons. Elle en profita pour remercier les commerçants locaux pour leurs dons.
9 commentaires
Olivier Bédel
Et oui, les budgets ne sont pas extensibles. Le gouvernement préfère acheter du tissu. Revêtir les élèves d’un costume serait la panacée pour régler les problèmes de l’école. Ne riez pas !Un petit calcul. On peut imaginer qu’un costume 3 pièces (chemise, pantalon/jupe, veste) revient à 120€. 1 costume chaud pour l’hiver + un change(minimum). 1 costume léger pour la belle saison + un change = 4 costumes par élève. 4*120=480€. On arrondi à 500€. La France compte actuellement 12 millions d’élèves. 500×12 millions = 6 milliards d’€ ! Un gaspillage indécent de l’argent public, alors que l’on a besoin de cet argent pour garder les classes ouvertes dans nos villes et nos villages. Hallucinant !
xlpc
Si la fermeture d’une classe est toujours pénible, souvent injuste, votre calcul démagogique est particulièrement risible. Comment ne pas rire du cout supposé d’un uniforme, de la quantité à fournir à chacun et surtout du nombre d’écoliers concernés quand on sait que la mesure ne s’adresse pas à 12 millions de jeunes ni que l’état serait le seul payeur. Aucun représentant de l’état n’a jamais dit que cela résoudrait tous les problèmes de l’école. En quoi le ridicule peut aider une juste cause ?
choukov
Ses « hypothèses » de départ sont toujours très exagérées.
Elles servent toutefois régulièrement à imposer ses conclusions plus militantes qu’humanistes.
Pavlovien.
Pour !
Ils ont raison de défendre leur école et surtout de le faire un jour ou ils dérangent essentiellement les touristes. En effet les locations saisonnières empêchent l’installation de nouvelles familles. Ce n’est pas la seule raison mais celle ci est importante dans le choix des parents. Bon courage à eux et n’oubliez pas de vous adresser à Dieu de préférence et non à ses saints !!
Olivier Bédel
Sauf que les touristes n’y sont pour rien. Vous ne partez jamais en vacances ? Vous meme n’êtes jamais « touriste » ? Le touriste n’est pas un groupe à part. Nous le sommes tous un jour ou l’autre. Les gens qui travaillent dur toute l’année n’ont ils pas droit à un repos bien mérité ? La faute ne serait-elle pas du côté des loueurs, donc des locaux, qui préfèrent louer aux touristes plutôt qu’aux gens d’ici, pour gagner plus de sous ?… Il faut arrêter avec les boucs emissaires. Rien n’est simple. Décidément, par les temps qui courent, où l’intolérance est devenue très tendance, il ne fait pas bon être un étranger…
choukof
« il ne fait pas bon être un étranger »…. peut-être, ou pas, vous êtes un étranger pour votre voisin, votre partenaire de la belotte du samedi, pour vos « camarades » de la cellule locale dont l’un ou l’autre vous déteste, qui sait ?
Mais le pire est de devenir un étranger dans son pays, dans son village ou son quartier, de par la bêtise crasse et obstinée d’associations idéologiques factieuses et anti-démocratiques.
choukof
« l’installation de nouvelles familles »….. c’est pas comme planter un chou.
Jean-Paul Petit
C’est plutôt bien, cette idée des uniformes scolaires. Entre autres avantages, ça pourrait permettre de relancer notre industrie textile de la confection, dont Gérardmer fut un fleuron. Et donc de favoriser la reconstitution d’une population laborieuse dans nos vallées évidemment plus féconde que les migrations touristiques saisonnières.
A condition de ne pas être allergique à l’industrie, et de lancer correctement les appels d’offres.
choukof
La dernière phrase est plaisante.