C’est chez « La Libraire » de Gérardmer que Philippe Jeandel a choisi de célébrer la sortie de son deuxième roman en compagnie du cercle d’amis qui a participé à la relecture et à la correction de l’ouvrage. L’histoire est bien ancrée dans le paysage local, mais pas seulement.
Après la parution il y a un an de son premier roman intitulé « Sortie de bain manquée à Perlaville » le Gérômois Philippe Jeandel se met à « L’Heure de Big Ben ».
Son nouveau bouquin est le prolongement du premier opus, une fausse suite qui peut être lue sans avoir parcourue la première histoire véritable ode à son pays.
Comme le veut le néo écrivain « A l’heure de Big Ben » est une énigme romantique et légère construite autour de personnages singuliers et pittoresques avec une chute émouvante. L’histoire tient le lecteur en haleine jusqu’à la dernière page.
A découvrir absolument au risque de louper un moment de détente absolue.
L’auteur précise : « C’est un livre de plage, au format idéal, dans un style propre au roman appelé feel good« . Un bouquin appartient à celui qui le lit. A l’heure de Big Ben n’est déjà plus en ma possession. Pourtant, je tiens à remercier celles et ceux qui m’ont aidé à boucler ce nouveau voyage grâce à leur correction et leur relecture »
A l’heure de Big Ben, est pour l’instant uniquement en vente à Gérardmer « chez » La Libraire boulevard Kelsch et à la Maison de la Presse place du tilleul au prix de 12 euros avant de garnir les rayons des librairies du département puis sur internet.
Prix : 12 euros. Possibilité d’envoi pour les expatriés et les autres moyennant 5,20 euros de frais de port.
Le pitch :
Le 21 juillet 2005, la vieille Studebaker décapotable avec à son bord Robert Lelouch explosait devant la villa Les Jonquilles sur un des coteaux du village de Perlaville dans la montagne vosgienne. A ses côtés se tenait Juliette Lemaire, une ancienne danseuse du Blue Eléphant, qui avait pour nom de scène Tina Canon S.
Le couple s’était rencontré au bar du cabaret parisien après une prestation de la danseuse, à l’époque meneuse de revue. Bob avait été « traîné » malgré lui dans ce haut lieu des nuits parisiennes par Joseph Lestranger son binôme au sein du Service de Documentation Extérieure et de Contre-Espionnage.
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