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dimanche 30 juin

« Associer les réalités écologiques et les réalités économiques »..

Courrier d'une lectrice

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Dans l’Ecoterritoire du Val de Villé, un magnifique bâtiment « bois, béton, verre » , bâtiment à énergie passive (seule une petite chaudière de 50 kW l’alimente, sa conception,le soleil et les matériaux utilisés font le reste ) vient d’être inauguré à Maisonsgouttes.

Il y accueille désormais les classes de maternelle, du primaire ,et les activités périscolaires pour 3 communes .
Il sera bientôt végétalisé au maximum.
Tout est conçu pour être fonctionnel et initier les enfants à un avenir construit en respectant les lois de la nature et de l’écologie.

Dans le Val de Villé (altitude sensiblement identique à celle de notre comcom Gérardmer-Hautes Vosges), de plus en plus de fermes passent en agriculture biologique et partagent leur expérience.

L’alimentation est un levier important pour l’environnement et pour notre santé : le bilan carbone de notre alimentation est lourd (23% de notre empreinte).

Ceci est  déjà directement lié à une trop grande consommation de produits carnés .
Mieux vaut manger moins de viande mais de bonne qualité.
Surtout  en ne cautionnant pas, par nos achats, l’élevage en batterie et son cortège  :
– de nuisances  sur notre santé (tous les médecins nous mettent en garde sur les effets néfastes pour notre système cardio-vasculaire, de l’abus de charcuteries et de viande rouge, a fortiori si cette viande est de mauvaise qualité),
– de nuisances sur l’environnement (pollutions par les lisiers, comme en Bretagne, et bilan CO2 désastreux),
– de souffrances animales,
– d’accaparement de terres agricoles dans des pays pauvres pour nourrir nos animaux au détriment des cultures vivrières jadis produites sur ces terres pour leurs habitants.
Pour faire 1 kg de viande pour nous, il faut presque 10 kg de céréales,10 kg qui auraient pu nourrir d’autres êtres humains et favoriser leur autonomie alimentaire.

Rappel …95% des porcs français sont élevés en batterie…privilégions une viande  bio (donc élevée en plein air) et locale .

Le cahier des charges du label AB de l’agriculture  bio est exigeant et il est intéressant de mieux connaître celui-ci en en discutant avec un agriculteur bio.

Le bilan carbone de notre alimentation est aussi lié  :
– aux transports,
– aux produits transformés (à Breitenbach des ateliers cuisine sont mis en place pour s’engager autour d’une alimentation maison bio ,locale et peu coûteuse) ,
– aux engrais (les engrais sont un sous produit du pétrole , et, aussi contradictoire que cela puisse paraître, un produit local cultivé avec des engrais a un bilan carbone plus élevé qu’un produit bio venant de très loin),
-au matériel agricole utilisé pour cultiver ( les énormes tracteurs ont un coût économique et écologique énormes).

Là encore l’agriculture bio est un formidable réducteur de bilan carbone ,et ,de plus, est créatrice d’emplois.

A quand un maillage de fermes bio sur chaque territoire, comme le mettent en place petit à petit le Val de Villé , ou certaines associations comme
« Terres de liens » , « FEVES » , « les Jardins de Cocagne », etc ?

La comcom du Val de Villé lance 10 beaux défis , en particulier :

– le défi « 1000 maisons », déjà bien engagé depuis un an : ce défi consiste à baisser la dépendance aux énergies fossiles en diminuant la consommation d’énergie dans les bâtiments, publics ou privés, ceci par leur isolation  avec des matériaux biosourcés, ou en remplaçant les chaudières à fuel ou gaz par du chauffage solaire, des chaudières à biomasse ou des réseaux de chaleur, ce qui induira l’utilisation de ressources locales et renouvelables (bois,soleil).

Un certain nombre d’habitants ont déjà pu bénéficier des aides de l’Ecoterritoire pour les démarches, pour le financement et pour le choix des entreprises.

– le défi « 1000 cuves à eau » pour constituer des réserves d’eau, en facilitant l’achat de ces cuves  par les habitants, avec l’aide financière à 80% par l’agence de l’eau Rhin-Meuse et la région
Grand -Est.
Notre comcom de Gérardmer va lancer une opération similaire.

D’autres défis sont lancés..

Quand politiques et citoyens œuvrent ensemble pour la préservation et l’utilisation intelligente de nos ressources ,alors
économie, écologie et social ne s’opposent pas, mais vont vers un projet de société porteur d’espoir et non d’angoisse pour les jeunes.

Breitenbach et sa comcom sont un exemple à notre échelle, et ,à plus grande échelle, des villes comme Fribourg en Allemagne, tout près de nous aussi et ville pionnière en écologie depuis longtemps, comme Malmö, comme d’autres grandes villes, en sont aussi un exemple.

Pourquoi pas nous ?

Et si notre comcom de Gérardmer-Hautes Vosges ou le futur député de notre circonscription , invitaient Jean-Pierre Piela (Maire de Breitenbach depuis 32 ans) pour animer ici un grand débat public sur :
« écologie et économie,l’expérience de l’Ecoterritoire du Val de Villé : un partenariat possible, pour se tourner vers un avenir riche de solutions ? »

D.C

écoterritoire

Val de Villé

 

Dans l’Ecoterritoire du Val de Villé, un magnifique bâtiment « bois, béton, verre » , bâtiment à énergie passive (seule une petite chaudière de 50 kW l’alimente, sa conception,le soleil et les matériaux utilisés font le reste ) vient d’être inauguré à Maisonsgouttes.

Il y accueille désormais les classes de maternelle, du primaire ,et les activités périscolaires pour 3 communes .
Il sera bientôt végétalisé au maximum.
Tout est conçu pour être fonctionnel et initier les enfants à un avenir construit en respectant les lois de la nature et de l’écologie.

Dans le Val de Villé (altitude sensiblement identique à celle de notre comcom Gérardmer-Hautes Vosges), de plus en plus de fermes passent en agriculture biologique et partagent leur expérience.

L’alimentation est un levier important pour l’environnement et pour notre santé : le bilan carbone de notre alimentation est lourd (23% de notre empreinte).

Ceci est  déjà directement lié à une trop grande consommation de produits carnés .
Mieux vaut manger moins de viande mais de bonne qualité.
Surtout  en ne cautionnant pas, par nos achats, l’élevage en batterie et son cortège  :
– de nuisances  sur notre santé (tous les médecins nous mettent en garde sur les effets néfastes pour notre système cardio-vasculaire, de l’abus de charcuteries et de viande rouge, a fortiori si cette viande est de mauvaise qualité),
– de nuisances sur l’environnement (pollutions par les lisiers, comme en Bretagne, et bilan CO2 désastreux),
– de souffrances animales,
– d’accaparement de terres agricoles dans des pays pauvres pour nourrir nos animaux au détriment des cultures vivrières jadis produites sur ces terres pour leurs habitants.
Pour faire 1 kg de viande pour nous, il faut presque 10 kg de céréales,10 kg qui auraient pu nourrir d’autres êtres humains et favoriser leur autonomie alimentaire.

Rappel …95% des porcs français sont élevés en batterie…privilégions une viande  bio (donc élevée en plein air) et locale .

Le cahier des charges du label AB de l’agriculture  bio est exigeant et il est intéressant de mieux connaître celui-ci en en discutant avec un agriculteur bio.

Le bilan carbone de notre alimentation est aussi lié  :
– aux transports,
– aux produits transformés (à Breitenbach des ateliers cuisine sont mis en place pour s’engager autour d’une alimentation maison bio ,locale et peu coûteuse) ,
– aux engrais (les engrais sont un sous produit du pétrole , et, aussi contradictoire que cela puisse paraître, un produit local cultivé avec des engrais a un bilan carbone plus élevé qu’un produit bio venant de très loin),
-au matériel agricole utilisé pour cultiver ( les énormes tracteurs ont un coût économique et écologique énormes).

Là encore l’agriculture bio est un formidable réducteur de bilan carbone ,et ,de plus, est créatrice d’emplois.

A quand un maillage de fermes bio sur chaque territoire, comme le mettent en place petit à petit le Val de Villé , ou certaines associations comme
« Terres de liens » , « FEVES » , « les Jardins de Cocagne », etc ?

La comcom du Val de Villé lance 10 beaux défis , en particulier :

– le défi « 1000 maisons », déjà bien engagé depuis un an : ce défi consiste à baisser la dépendance aux énergies fossiles en diminuant la consommation d’énergie dans les bâtiments, publics ou privés, ceci par leur isolation  avec des matériaux biosourcés, ou en remplaçant les chaudières à fuel ou gaz par du chauffage solaire, des chaudières à biomasse ou des réseaux de chaleur, ce qui induira l’utilisation de ressources locales et renouvelables (bois,soleil).

Un certain nombre d’habitants ont déjà pu bénéficier des aides de l’Ecoterritoire pour les démarches, pour le financement et pour le choix des entreprises.

– le défi « 1000 cuves à eau » pour constituer des réserves d’eau, en facilitant l’achat de ces cuves  par les habitants, avec l’aide financière à 80% par l’agence de l’eau Rhin-Meuse et la région
Grand -Est.
Notre comcom de Gérardmer va lancer une opération similaire.

D’autres défis sont lancés..

Quand politiques et citoyens œuvrent ensemble pour la préservation et l’utilisation intelligente de nos ressources ,alors
économie, écologie et social ne s’opposent pas, mais vont vers un projet de société porteur d’espoir et non d’angoisse pour les jeunes.

Breitenbach et sa comcom sont un exemple à notre échelle, et ,à plus grande échelle, des villes comme Fribourg en Allemagne, tout près de nous aussi et ville pionnière en écologie depuis longtemps, comme Malmö, comme d’autres grandes villes, en sont aussi un exemple.

Pourquoi pas nous ?

Et si notre comcom de Gérardmer-Hautes Vosges ou le futur député de notre circonscription , invitaient Jean-Pierre Piela (Maire de Breitenbach depuis 32 ans) pour animer ici un grand débat public sur :
« écologie et économie,l’expérience de l’Ecoterritoire du Val de Villé : un partenariat possible, pour se tourner vers un avenir riche de solutions ? »

D.C

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