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samedi 22 février

Conseil municipal – retour sur les questions diverses : scanner, feux d’artifice, subventions et domaine skiable

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Le conseil municipal du vendredi 21 février s’est achevé une nouvelle fois par les questions diverses. Pour le groupe Gérardmer Solidaire, Eric Defranould a souhaité s’enquérir de la situation de l’hôpital de Gérardmer. Stessy Speissmann Mozas a confirmé l’arrivée d’un scanner dans le courant de l’année 2025 et a confirmé que le projet de reconstruction de l’hôpital était mis en parenthèse, comme cela avait été indiqué lors des vœux du personnel hospitalier en début d’année. Eric Defranould a ensuite évoqué l’attribution de certaines subventions, notamment au rallye : « Les élus municipaux représentants de la commune dans divers organismes comme l’office du tourisme ou la Comcom vont-ils continuer à distribuer l’argent public sans aucun discernement ? » Le premier magistrat a rappelé que l’Office de Tourisme était un EPIC (établissement public de coopération intercommunale) et qu’il ne s’agissait pas d’argent public, sachant que la majorité des recettes de l’O.T proviennent des prestations qu’il offre et de la taxe de séjour…

Enfin, Eric Badonnel, pour la liste Gérardmer Notre Perle, a notamment fait la demande d’un point financier intermédiaire de l’exploitation du domaine skiable tel qu’il se présente à la mi-février pour la saison en cours. Le chiffre d’affaire est le suivant 610 000 € pour le mois de décembre, 345 000 € pour janvier et 460 000 € pour février (au 20 février).  L’élu de l’opposition a également souhaité s’exprimer sur les tirs de feu d’artifice organisés hebdomadairement sur le marché des skieurs, et contre lesquels « un certain nombre de voix s’élèvent » , notamment en raison du fait qu’ils « polluent l’environnement par les déchets qu’ils génèrent sur le parc Garnier ». « Nous savons que la préfecture vous a adressé récemment un rappel de la réglementation en vigueur, comportant notamment l’obligation de faire récupérer les déchets pyrotechniques par une filière agréée. La mairie autorisant ces tirs, de quelle garantie dispose-t -elle et quel contrôle assure-t-elle s’agissant du respect de ladite réglementation ? », ajoute Eric Badonnel. Stessy Speissmann Mozas a indiqué qu’il revenait aux artificiers de récupérer et traiter les déchets générés par les tirs, ajoutant que la fréquence des feux d’artifice (hebdomadaire pendant les vacances) était acceptable.

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