Comme chaque année, la cérémonie officielle du 8 mai s’est tenue à Aumontzey, précédée d’un hommage au monument aux morts de Granges. À noter que celle du 11 novembre a lieu, quant à elle, traditionnellement à Granges.
Dirigée par Maurice Lemarquis, maitre de cérémonie, la commémoration a compté sur la présence de Monsieur le Maire, Frédéric Thomas, les élu·e·s Corinne Mourot, Laëtitia Daeschler, Régine Guyot, David Maurice, Claude Grosjean, Étienne Laurent et l’ancien Maire d’Aumontzey Philippe Petitgenet. Les sapeurs-pompiers et jeunes sapeurs-pompiers, Bernard Lazzati, Président de l’association des anciens combattants d’A.F.N. accompagné de plusieurs membres, porte-drapeaux et nombreux habitants étaient également présents.
Pour ce 80ème anniversaire, après un dépôt de gerbe, Frédéric Thomas a partagé le message officiel de Sébastien Lecornu, Ministre des Armées, et de Patricia Mirallès, Secrétaire d’État auprès du ministre des Armées, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire. Ce discours se conclu ainsi :
« Alors que le cycle des commémorations du 80ème anniversaire de la Libération se termine, dans un monde où les menaces se multiplient, où des menaces anciennes planent à nouveau sur le pays. Alors que les rapports de force internationaux se reconfigurent, souvenons-nous des sacrifices qu’une génération entière de Françaises et de Français a acceptés pour libérer le pays, pour le reconstruire et pour nous donner les moyens de notre souveraineté. »
Puis, sur la base du volontariat, les enfants de l’école élémentaire ont chanté l’hymne national et l’hymne européen, accompagnés du professeur des écoles Xavier Battistella à la guitare. L’harmonie municipale a ensuite pris le relais en proposant la Marseillaise, suivie de la marche Colonel Bogey. Proposé par Myriam Didier, cheffe d’orchestre, cet air rappelle un générique bien connu, celui du Pont de la rivière Kwaï. Enfin, deux poèmes ont été partagés par les élèves de l’école élémentaire : « Paroles » de Jacques Prévert et « Il y en a qui prient, il y en a qui fuient » de René Tavernier.
La cérémonie se clôtura par le verre de la fraternité à la salle polyvalente, où réductions salées et sucrées attendaient les convives, confectionnées de bonne heure par les bénévoles extra-municipaux, toujours très investis dans l’organisation des festivités de la commune.
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