Ce mardi 6 mai a eu lieu une journée de sécurité et prévention routière au lycée professionnel Pierre Gilles de Gennes, un projet initié par l’enseignante documentaliste Marjorie Odille et la CPE Emmanuelle Menet.
Les élèves de 1ère Bac Pro et Terminale CAP, CRL et CLM se sont répartis par demi classes sur 5 ateliers tout au long de la journée. Ce sont 98 lycéens en tout qui ont pu suivre les 4 ateliers proposés par l’Auto école des Lacs et un 5e animé par la gendarmerie motorisée de Saint-Dié des Vosges. Au programme avec l’Auto école de Mickaël Miclo et ses 2 intervenants : une atelier angles morts et gestion de la zone environnante depuis la cabine d’un poids lourd. Un atelier distances de sécurité et de freinage avec des exercices réels en voiture à 30, 50 et 60 km/h ainsi que les sanctions liées aux excès de vitesse. Un atelier alcool, les doses bar et maison, son élimination et les conséquences de l’alcool : expérimentées grâce un parcours équipé de lunettes spéciales. Et un atelier 2 roues : l’équipement individuel et son importance, l’accidentologie, l’équipement du 2 roues et son homologation.
Quant au 5e atelier, le thème abordé par le major Miclot et le gendarme Luis Recio de la brigade motorisée de Saint-Dié des Vosges était : tout faire pour garder son permis. Ils ont sensibilisé les jeunes conducteurs au respect du code de la route, la conduite sous stupéfiant, l’accidentologie sur tout type de profil, des piétons aux poids lourds, abordé comment devenir un bon usager de la route et les conséquences d’une infraction. Ils les ont également responsabilisés par rapports aux points : « si je perds des points, je dois changer mon comportement, mes choix de vie ». Un dialogue s’est installé entre les représentants de la loi et les élèves attentifs et curieux. Ces derniers ont eu accès à 2 points de vue : l’expérience avec le major et l’entrée dans la vie active avec le jeune gendarme. Ils sont « une force de relais » soulignaient les intervenants. Les jeunes lycéens sont repartis avec des lingettes et flyers de prévention routière et pourquoi pas aussi avec « l’ouverture vers un autre métier » suggérait le gendarme.
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