(Photographie Hôpitaux du Massif des Vosges)
Depuis le 26 mai dernier, Laure Vukasse, directrice générale des Hôpitaux du Massif des Vosges, est épaulée par Loïc Maignan, nouveau directeur adjoint de l’établissement public de santé de la Déodatie et de Gérardmer.
Le bras droit de la directrice Laure Vukasse
Originaire de Bretagne, Loïc Maignan a choisi l’Est de la France pour ses études… pour ne jamais repartir, puisqu’il y a mené l’essentiel de sa carrière. « Je me retrouve dans le positionnement de l’établissement » explique le nouveau directeur adjoint, qui assure avoir sélectionné les HMV parmi plusieurs offres hospitalières. Concrètement, Loïc Maignan est le bras droit de la directrice Laure Vukasse, l’assistant dans ses décisions et assurant ses fonctions en cas de suppléance.
Un métier « difficile, mais très intéressant et enrichissant »
« Je travaille quasiment tout le temps. Directeur, c’est un métier difficile, avec beaucoup de responsabilités : la sécurité des patients, des professionnels, des bâtiments…. On est aussi arbitres des conflits entre des parties, souvent toutes légitimes. Mais c’est un poste très intéressant et enrichissant. Au cours de ma carrière, j’ai été amené à gérer plusieurs plans blancs, entre autres. J’y ai appris à être calme, à l’écoute et ouvert au dialogue. Ainsi, le temps de la décision vient de lui-même. »
Un engagement qui dépasse le cadre hospitalier
Trompettiste amateur, randonneur, lecteur, cinéphile et cuisinier sur son maigre temps libre, Loïc Maignan ne se limite pas à sa nouvelle fonction de directeur adjoint, puisqu’il enseigne également la finance à l’université Paris V et participe à la préparation au concours de directeur d’hôpital au CNEH. « La prépa m’a aidé à obtenir mon concours. Alors aujourd’hui, je rends la pareille ! »
Assurer la pérennité et l’équilibre de fonctionnement des HMV
À terme, le quadragénaire entend assurer la pérennité et l’équilibre de fonctionnement des HMV, dans un contexte de vieillissement de la population et de hausse de l’activité hospitalière. « L’enjeu c’est d’éviter les phénomènes de rupture : les crises, les tensions, les conflits… C’est un gage de pérennité. »
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