Ce vendredi soir la Maison de la Culture et des Loisirs accueillait le vernissage de l’expo BD « La Moïra » en présence de l’auteur du livre Henri Loevenbruck.
« La Moïra a 23 ans », raconte Henri Loevenbruck, et il l’a dédicacée pour la première fois à Gérardmer. Il se retrouve à nouveau au même endroit pour son adaptation en BD. Il ajoute d’ailleurs qu’il vient au Festival tous les ans et qu’il était présent à l’une des premières éditions de Fantastic’Art avant même d’être écrivain. Il rédigeait, à l’époque, des articles pour un magazine de science-fiction.
La BD La Moïra est une trilogie fantasy teintée de légendes bretonnes et celtiques en 6 tomes dont le projet a été initié par le scénariste Lylian. « Le vrai boulot de la BD c’est le dessin » Henri Loevenbruck a l’impression d’usurper la place des réels artistes ce soir. Les illustratrices Raka et Ferrari sont italiennes et ce sont leurs œuvres qui sont exposées aux murs et que l’on peut admirer dans les BD.
Henri Loevenbruck estime « qu’il n’y a rien de plus fabuleux pour un écrivain que d’être adapté ». Il aime « qu’un autre s’approprie son univers » et d’une manière différente de ce que lui aurait imaginé, que ce soit au cinéma ou en BD. Il s’est prêté de bonne grâce aux dédicaces tout en échangeant avec le public, en toute simplicité. La Libraire située boulevard Kelsch avait également apporté le dernier roman de l’auteur « Les disparus de Blackmore », lui permettant de le signer aussi pour ses fans.
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