L’OT a accueilli plus de 25 000 personnes
L’heure est au premier bilan pour les professionnels du tourisme même si le grand week-end du 15 août promet d’être porteur d’affaires. L’Office de Tourisme contribue à la promotion de la vallée en comptabilisant aujourd’hui les vacanciers qui passent la porte du lieu d’accueil. Depuis janvier dernier, l’OT est en effet doté d’un mécanisme de comptage avec trois bornes installées dans le plafond du sas d’entrée. Le système d’exploitation est piloté par un logiciel qui donne toutes les données capables d’être croisées avec celles collectées sur le terrain, c’est à dire par les agents d’accueil.
« Les chiffres enregistrés parlent d’eux-même » constate Jean Luc Géhin » nous savons combien de personnes franchissent le seuil de porte quasiment en temps réel. En juillet, 25 545 personnes sont entrées à l’OT pour une cote mal taillée de moins 5%. Et pour reprendre les statistiques nationales d’un acte d’accueil correspondant à 2,5 personnes en moyenne, faites le calcul vous même, c’est impressionnant ».
Jean-Luc Géhin sur le logiciel de comptage
Depuis le début de l’année 2015, l’OT a ainsi comptabilisé 113 006 visiteurs à 11 h ce samedi matin avec une pointe le lundi 16 février dernier à 1 835 passants : 1 796 le 4 août.
« Les chiffres ne font pas tout » poursuit Jean Luc Géhin » mais nous arrivons à affiner nos statistiques en ce qui concerne le pourcentage de touristes étrangers ou français avec les informations recueillies sur place auprès des visiteurs. Ou encore sur les mois les mieux fréquentés. Ce que l’on sait aujourd’hui, c’est que les vacanciers qui viennent à Gérardmer arrivent de toute la France, même si certains départements ont une moins grande représentation que d’autres comme ceux du grand quart Nord/Est de l’hexagone« .
Les bornes enregistreuses
C’est le cas pour des régions comme le Sud-Ouest, le Roussillon, PACA. Cependant, La Perle des Vosges est de plus en plus attractive, surtout si la météo joue en sa saveur. Ce qui est la cas cette année à commencer par l’hiver dernier.
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