Samedi après-midi, le domaine skiable et ses moniteurs accueillaient une cinquantaine d’enfants du Secours populaire. Une formidable opportunité pour ces jeunes de découvrir le ski en cette journée des plus enneigées de ce début d’année.
De la neige en quantité et une après-midi pour skier, il n’en fallait pas plus pour rendre heureux les 43 enfants emmenés le temps
Les enfants accompagnés de Loustic la mascotte du domaine.
d’une journée par le Secours populaire au domaine skiable de la Mauselaine. Entre joie du ski et de la neige, ces enfants venus de la région Lorraine, ont pu découvrir, non sans cacher leur enthousiasme, ce sport d’hiver que la plupart n’avait encore jamais pratiqué.
Accueillis à 11h par Franck Kremer, le nouveau « community manager » du domaine à qui il arrive également d’endosser le costume de Loustic la mascotte, les enfants ont ensuite été conduit dans une salle de pique-nique spécialement aménagée pour l’occasion. Au menu, un repas simple mais assez copieux pour affronter le froid et la neige. Un repas préparé par 4 restaurateurs de la station dont ceux de la Brasserie du Grand Haut et livré en moto-neige : sil vous plait. Ce qui n’a pas manqué d’émerveiller les 43 enfants.
Une fois cette pause déjeuner terminée, ces derniers ont ensuite été divisés en 4 groupes et répartis dans les 4 magasins de locations de la station, qui ont tous prêté généreusement et gratuitement les fournitures nécessaires.
Les skis chaussés et les casques enfilés, les enfants avaient rendez vous devant l’ESF où les attendaient plusieurs moniteurs chargés de leur dispenser leurs premiers cours. Direction donc le jardin d’enfants, où les jeunes ont pu enfin gouter aux rudiments du ski et les « gamelles » qui vont avec. Loustic, la mascotte, est même venue leur rendre une petite visite, ce qui n’a pas manqué de leur faire plaisir.
Une belle initiative réalisée en collaboration avec la ville de Gérardmer, et qui s’est finie vers 16h autour d’une brioche et d’un chocolat bien chaud, histoire de réchauffer nos petits skieurs en devenir.
Audrey Martin
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